NFB Healthcare

NFB L’Académie NFB Healthcare

L’Académie
NFB Healthcare

35 d’expériences à disposition de la formation

L’académie NFB Healthcare a été créée par le Docteur Jean-Philippe Richter, Médecine interne FMH, spécialiste en Micronutrition, afin de partager son expérience de plus 35 ans d’activité auprès des malades. 

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Son approche est holistique, à l’écoute du patient, orientée vers une proposition thérapeutique la plus naturelle possible. Tous les domaines sont abordés, y compris l’antiâge, les diverses maladies, l’activité sportive ou les maladies plus graves.

Notre implication en micronutrition et nos multiples spécialités obtenues en Suisse et en Europe (Médecine du Sport, Micronutrition, Gériatrie, Médecine morphologique et antiâge…) lui donnent la possibilité d’intégrer plusieurs approches simultanées par un résultat le plus satisfaisant possible. Nous proposons ainsi dans cette école, une formation continue de Nutrithérapie permettant :

  • L’obtention d’un Diplôme de Nutrithérapeute, certifié Cerden – NFB Healthcare. Ce diplôme bénéficie d’une reconnaissance européenne.
  • L’accès au titre de “Conseiller en Nutrition” après une année préparatoire de remise à niveau.
  • L’accès à nombreuses formations continues agrées par l’ASCA et donnant des points de formation.
  • Une formation en hypnose.

Notre approche académique

NFB Healthcare a pour objectif de proposer un enseignement de formation continue dans plusieurs domaines dont le principal est la nutrition-nutrithérapie.

Pour compléter son offre d’enseignement et dans le même objectif de santé optimale, l’Académie NFB Healthcare propose des webinairs gratuits régulièrement.

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Académie

Concernant la nutrithérapie, les cours et l’organisation logistique sont proposés en collaboration directe avec le CERDEN®, Centre Européen pour la Recherche, le Développement et l’Enseignement de a Nutrition et de la Nutrithérapie (Médecine Nutritionnelle) – CERDEN® – Association Internationale de type scientifique (membre FAIB).

NFB Healthcare agit notamment :

  • par la formation des professionnels de la santé (organisation de séminaires de formation, de post-graduates, de journées scientifiques, constitution d’une banque de données actualisée en permanence, …),
  • par l’information du grand public (formation professionnelle, conférences, distribution de documents d’information, …),
  • par la sensibilisation des organismes concernés par la santé publique
  • et par la stimulation de la recherche en nutrition et en nutrithérapie.

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Quels sont les bienfaits du curcuma ?

Quels sont les bienfaits du curcuma ? Découvrez ses vertus pour la santé

Quels sont les bienfaits du curcuma ? Découvrez ses vertus pour la santé Les principaux bienfaits du curcuma pour la santé   Action anti-inflammatoire naturelle   Le curcuma (Curcuma longa), un rhizome utilisé depuis des millénaires en médecine ayurvédique et traditionnelle chinoise, est de plus en plus reconnu dans la recherche moderne pour ses propriétés anti-inflammatoires. Son principal composant bioactif, la curcumine, est à l’origine de la majorité de ses effets bénéfiques sur la santé. Le curcuma est également un puissant antioxydant, neutralisant les radicaux libres qui peuvent déclencher ou aggraver les processus inflammatoires dans l’organisme. Il aide ainsi à maintenir l’intégrité des cellules et des tissus, en particulier dans les maladies chroniques où le stress oxydatif est une cause sous-jacente majeure. Grâce à ces mécanismes, le curcuma s’est montré prometteur dans le traitement de diverses maladies inflammatoires :  Polyarthrite rhumatoïde et arthrose : Maladies inflammatoires de l’intestin (Maladie de Crohn, colite ulcéreuse) Syndrome métabolique et inflammation systémique Maladies neurodégénératives Cancers Maladies cardiovasculaires   Propriétés antioxydantes puissantes   Le curcuma (Curcuma longa), largement utilisé en médecine traditionnelle, est reconnu pour son puissant pouvoir antioxydant. Son composé actif principal, la curcumine, possède des propriétés antioxydantes qui neutralisent les radicaux libres dans le corps, réduisant ainsi les dommages cellulaires et les effets du stress oxydatif. Ce dernier joue un rôle clé dans le développement de nombreuses maladies chroniques et dégénératives.   Amélioration de la digestion et du métabolisme   Le curcuma (Curcuma longa), utilisé depuis des millénaires en médecine ayurvédique et traditionnelle chinoise, a des effets bénéfiques sur le système digestif. Son composé actif, la curcumine, joue un rôle clé dans l’amélioration de la digestion, en réduisant les symptômes de troubles digestifs et en favorisant une bonne santé intestinale. Le curcuma agit sur plusieurs niveaux du système digestif, grâce à ses propriétés anti-inflammatoires, antioxydantes et cholérétiques (qui favorisent la production de bile).: Stimulation de la production de bile Effet anti-inflammatoire Protection de la muqueuse gastrique Régulation du microbiote intestinal Effet antispasmodique   En raison de ses multiples mécanismes d’action sur la digestion, le curcuma est recommandé dans plusieurs troubles digestifs, parmi lesquels : Dyspepsie (troubles digestifs fonctionnels) Syndrome de l’intestin irritable (SII) Colite ulcéreuse et maladie de Crohn Gastrite et ulcères gastrique Problèmes biliaires Flatulences et ballonnements    Bienfaits sur la santé mentale   Le curcuma (Curcuma longa), et plus spécifiquement son principal composé actif, la curcumine, a fait l’objet d’un intérêt croissant dans le domaine de la santé mentale en raison de ses propriétés anti-inflammatoires, antioxydantes, et neuroprotectrices. Bien que les recherches soient encore en cours, plusieurs études suggèrent que la curcumine pourrait jouer un rôle bénéfique dans la gestion de certaines maladies mentales et troubles psychiatriques. Mécanismes d’action du curcuma sur la santé mentale Dépression : La majorité des études sur la curcumine et la santé mentale se sont concentrées sur son potentiel antidépresseur. Plusieurs essais cliniques ont montré que la curcumine, seule ou en complément d’antidépresseurs classiques (comme les ISRS), peut réduire les symptômes de la dépression majeure. Son effet serait particulièrement bénéfique chez les patients souffrant de dépression résistante aux traitements habituels, où l’inflammation joue un rôle significatif. Anxiété : Les propriétés anti-inflammatoires et neuroprotectrices de la curcumine pourraient également la rendre utile dans la gestion des troubles anxieux. Des études animales ont montré que la curcumine réduit les comportements anxieux en modulant les neurotransmetteurs et en réduisant les niveaux de cortisol.Bien que les preuves cliniques sur l’anxiété humaine soient moins nombreuses, les résultats préliminaires sont prometteurs. Maladie d’Alzheimer : Le curcuma est largement étudié pour son potentiel à prévenir ou ralentir la progression de la maladie d’Alzheimer. Les propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes de la curcumine aident à combattre les plaques de protéine bêta-amyloïde qui s’accumulent dans le cerveau des patients atteints d’Alzheimer.De plus, en augmentant les niveaux de BDNF et en protégeant les neurones contre le stress oxydatif, la curcumine pourrait également améliorer la mémoire et les fonctions cognitives chez les personnes à risque. Troubles bipolaires : Certaines études suggèrent que la curcumine pourrait aider à stabiliser l’humeur chez les personnes atteintes de troubles bipolaires, en réduisant à la fois les symptômes de la phase dépressive et ceux de la phase maniaque. Cependant, davantage de recherches sont nécessaires pour confirmer ces effets chez les patients bipolaires. Syndrome post-traumatique (SSPT) : Le curcuma pourrait être bénéfique pour les personnes souffrant de syndrome de stress post-traumatique, car il a la capacité de réguler les niveaux de cortisol et de réduire l’inflammation cérébrale souvent associée à ce trouble.Bien que les preuves cliniques chez les personnes atteintes de SSPT soient limitées, les mécanismes proposés sont prometteurs pour l’avenir. Schizophrénie : Des études animales indiquent que la curcumine pourrait avoir des effets bénéfiques dans le traitement de la schizophrénie en réduisant l’inflammation cérébrale et en modulant les neurotransmetteurs dopaminergiques. Toutefois, les recherches cliniques dans ce domaine sont encore préliminaires et insuffisantes pour tirer des conclusions fermes. La curcumine est bien tolérée par la plupart des gens, mais des précautions doivent être prises chez les personnes sous traitement anticoagulant ou avec des problèmes biliaires.   Profil nutritionnel du curcuma   Le curcuma (Curcuma longa), souvent utilisé comme épice, est également prisé pour ses vertus médicinales. En dehors de son composant actif principal, la curcumine, qui est au centre de nombreuses études, le curcuma possède un profil nutritionnel varié comprenant des nutriments essentiels, des vitamines, des minéraux et des composés bioactifs.   Propriétés nutritionnelles et bienfaits pour la santé   La curcumine et les autres curcuminoïdes neutralisent les radicaux libres dans le corps, réduisant ainsi les dommages oxydatifs aux cellules, ADN et lipides. Cette action aide à prévenir diverses maladies chroniques comme le cancer, les maladies cardiovasculaires, et les maladies neurodégénératives. Propriétés anti-inflammatoires : Le curcuma inhibe des voies pro-inflammatoires (comme la voie NF-kB) et réduit la production de cytokines inflammatoires. Ces effets sont précieux pour traiter des affections inflammatoires chroniques comme l’arthrite, la maladie de Crohn et les troubles métaboliques. Effet sur la digestion : Le curcuma stimule la production de bile… Poursuivre la lecture Quels sont les bienfaits du curcuma ? Découvrez ses vertus pour la santé
Qu'est ce qui provoque une inflammation de l'instestin ?

Qu'est ce qui provoque une inflammation de l'instestin ?

Qu’est-ce qui provoque une inflammation de l’intestin ? Les origines de l’inflammation intestinale Pourquoi l’intestin est-il si vulnérable ?   L’intestin abrite 70 % des cellules immunitaires du corps et est en contact direct avec des milliards de bactéries et antigènes alimentaires. Cette exposition constante rend la muqueuse intestinale particulièrement sensible aux déséquilibres, pouvant déclencher des réponses inflammatoires exagérées.   Un aperçu des maladies inflammatoires de l’intestin (MICI)   Les MICI regroupent la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique (RCH), deux affections chroniques caractérisées par une inflammation persistante de la paroi intestinale. Ces maladies sont souvent associées à des anomalies génétiques, des déséquilibres microbiotiques et des perturbations immunitaires.   Les principales causes d’une inflammation intestinale   Facteurs génétiques et prédispositions héréditaires   Certaines mutations génétiques, notamment celles affectant les gènes NOD2 ou IL23R, augmentent le risque de développer des MICI. Ces mutations perturbent la réponse immunitaire, favorisant une inflammation chronique.   Rôle du microbiote intestinal dans les inflammations   Un déséquilibre entre bactéries bénéfiques (Lactobacillus, Bifidobacterium) et pathogènes (Clostridium, Enterobacteriaceae) altère la tolérance immunitaire, favorisant une production excessive de cytokines pro-inflammatoires.   Impact des facteurs environnementaux (alimentation, stress, etc.)   Alimentation : Les régimes riches en graisses saturées, sucres raffinés, et additifs (émulsifiants) perturbent la barrière intestinale. Stress chronique : Le cortisol libéré en excès perturbe le microbiote et accentue la perméabilité intestinale, facilitant l’inflammation.   Infections bactériennes, virales ou parasitaires   Certaines infections (Salmonella, Helicobacter pylori, rotavirus) induisent une réponse immunitaire qui peut devenir excessive ou mal régulée, entraînant une inflammation persistante.   Les symptômes associés à une inflammation de l’intestin   Manifestations générales : douleurs, diarrhées, et fatigue   Douleurs abdominales : Souvent localisées dans la région iliaque ou diffuse, elles s’accompagnent de crampes. Diarrhées chroniques : Parfois sanglantes ou mucoïdes. Fatigue chronique : Résultant de l’inflammation systémique et de la malabsorption des nutriments.   Signes spécifiques selon les types d’inflammation : Crohn, colite, etc.   Maladie de Crohn   Douleurs abdominales : Intenses, souvent localisées dans la région iléo-cæcale (côté droit de l’abdomen). Diarrhées chroniques : Souvent non sanglantes, mais parfois grasses (stéatorrhée) en cas de malabsorption. Symptômes systémiques : Fièvre, fatigue marquée, et perte de poids.   Rectocolite hémorragique (RCH)   Diarrhées sanglantes : Présence de sang et de mucus dans les selles, parfois associée à une fréquence accrue. Douleurs abdominales : Crampes souvent situées au bas de l’abdomen, particulièrement avant la défécation. Symptômes systémiques : Moins fréquents que dans la maladie de Crohn, mais possibles en cas de poussées sévères.   Colite infectieuse   Diarrhées aiguës : Généralement aqueuses, mais parfois sanglantes (dysenterie) selon l’agent pathogène (E. coli, Salmonella). Fièvre et nausées : Fréquentes, souvent accompagnées de douleurs abdominales diffuses. Déshydratation : Due à la perte importante de liquides, nécessitant une prise en charge rapide.   Colite ischémique Douleurs abdominales soudaines : Principalement dans la région gauche, souvent liées à une obstruction vasculaire. Selles sanglantes : Apparition rapide après les douleurs.   Les mécanismes biologiques derrière l’inflammation   Réponse immunitaire exagérée et rôle des cytokines   Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) sont caractérisées par une activation anormale et persistante du système immunitaire. Cette réponse inappropriée entraîne une inflammation chronique, largement médiée par des cytokines pro-inflammatoires. Dans les MICI, la barrière intestinale devient perméable, exposant les cellules immunitaires de la muqueuse aux antigènes microbiens et alimentaires.   Barrière intestinale compromise : comment cela aggrave l’inflammation ?   La quand la barrière intestinale ne joue plus son rôle, elle favorise l’apparition et la persistance de l’inflammation intestinale. Lorsque la barrière intestinale est compromise, l’hyperperméabilité, encore appelé syndrome de l’intestin poreux, s’installe. Cela entraîne : Translocation des antigènes Activation immunitaire excessive Dommages tissulaires    Dans les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI), la barrière compromise amplifie les réponses inflammatoires, créant un cercle vicieux d’inflammation et de dommages. L’altération de la barrière est également impliquée dans d’autres pathologies systémiques comme le diabète de type 2 et les maladies auto-immunes.   Comment diagnostiquer une inflammation de l’intestin ?   Les examens de laboratoire : analyses de sang et de selles   Les analyses biologiques sont essentielles pour détecter les marqueurs d’inflammation et les anomalies associées.   Les techniques d’imagerie médicale   L’imagerie permet d’évaluer les structures intestinales et de repérer les zones affectées par l’inflammation.   Tests spécifiques pour identifier les causes sous-jacentes   Lorsque l’inflammation est confirmée, des tests complémentaires permettent de préciser son origine.   Les traitements pour réduire l’inflammation intestinale   Le traitement de l’inflammation intestinale varie en fonction de la gravité des symptômes, des causes sous-jacentes et du type d’affection (comme les MICI).    Traitements médicamenteux : anti-inflammatoires, immunosuppresseurs, etc.   5-ASA (acide 5-aminosalicylique) : Traitement de première ligne pour les inflammations légères à modérées, notamment dans la rectocolite hémorragique. Corticostéroïdes : Utilisés pour réduire rapidement les inflammations aiguës dans les MICI. Immunosuppresseurs : Réduction de l’activité excessive du système immunitaire dans les inflammations chroniques. Biothérapies : Efficace pour les formes sévères de la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique.   Interventions chirurgicales et leur utilité dans les cas graves   Résection intestinale : Ablation d’un segment de l’intestin sévèrement endommagé ou présentant des complications (sténoses, abcès, fistules). Maladie de Crohn : Peut nécessiter plusieurs interventions au fil du temps en raison de récidives. Coloproctectomie totale : Indiquée en cas de rectocolite hémorragique résistante aux traitements médicaux. Peut nécessiter la création d’une stomie ou la construction d’un réservoir iléal.   Thérapies émergentes : modulation du microbiote et biothérapies   Transplantation de microbiote fécal (TMF) – La transplantation fécale, ou transplantation de microbiote fécal (TMF), consiste à introduire les selles d’un donneur sain dans le tube digestif d’un receveur pour restaurer un microbiote intestinal équilibré. Elle vise à remplacer un microbiote déséquilibré (dysbiose) par un microbiote fonctionnel. Elle repose sur le transfert des bactéries bénéfiques contenues dans les selles du donneur, améliorant ainsi les fonctions immunitaires et métaboliques de l’intestin. Inhibiteurs de JAK (Janus Kinase) –  Bloque les voies de signalisation responsables de l’inflammation. Alternative pour les patients réfractaires aux biothérapies.  … Poursuivre la lecture Qu’est ce qui provoque une inflammation de l’instestin ?