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NFB Healthcare vous propose des articles sur des thématiques autour du bien-être, de la nutrition et de la santé. Autant de sujets qui vous tiennent à coeur. Ainsi, nous espérons répondre à vos préoccupations et à vos objectifs au gré des publications de ce journal, dans lequel vous trouverez des conseils et recommandations personnalisées.

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quelles maladies provoquent une inflammation ?

Quelles maladies provoque une inflammation ? Guide des maladies inflammatoires 

Quelles maladies provoquent une inflammation ? Qu’est-ce qu’une maladie inflammatoire ?     Définition d’une maladie inflammatoire     Une maladie inflammatoire survient lorsqu’une activation excessive ou prolongée de la réponse immunitaire endommage les tissus et les organes. Cela peut toucher divers systèmes corporels, comme les articulations, l’intestin, ou la peau. L’inflammation est un mécanisme de défense naturel qui mobilise des cellules immunitaires pour éliminer les menaces et réparer les tissus. Si ce processus ne se résout pas, une inflammation chronique peut se développer, causant des dommages progressifs et favorisant des maladies graves. L’inflammation aiguë est une réaction rapide et temporaire, tandis que l’inflammation chronique persiste et peut entraîner des complications.   Maladies auto-immunes et inflammatoires : Quelle différence ?     Les maladies auto-immunes surviennent lorsque le système immunitaire attaque par erreur les tissus sains, entraînant une inflammation chronique qui peut endommager les organes, comme dans la polyarthrite rhumatoïde ou le lupus. À l’inverse, les maladies inflammatoires impliquent une inflammation qui n’est pas due à une auto-agression immunitaire, mais plutôt à des facteurs comme les infections ou les blessures, comme c’est le cas pour la maladie de Crohn.   Les principales catégories de maladies inflammatoires     Maladies inflammatoires rhumatologiques et articulaires    La polyarthrite rhumatoïde est une maladie auto-immune dans laquelle le système immunitaire attaque par erreur les tissus sains des articulations. Elle affecte principalement les articulations périphériques comme les mains, les poignets, les genoux et les pieds, mais peut aussi toucher d’autres organes. Les principales caractéristiques de la PR incluent : Inflammation : Cela provoque des symptômes comme douleur, gonflement, raideur, et chaleur au niveau des articulations. Déformation : En l’absence de traitement, l’inflammation chronique peut endommager les articulations, entraînant destruction articulaire et déformations visibles, comme des doigts en « coude de boutonnière » ou des poignets déformés.   La spondylarthrite ankylosante est une maladie inflammatoire chronique qui touche principalement la colonne vertébrale et les articulations sacro-iliaques. Elle est également liée à des troubles inflammatoires des articulations périphériques. Les principales caractéristiques de la SA sont : Douleurs lombaires chroniques : l’inflammation dans le bas du dos provoque une douleur constante, souvent plus marquée le matin ou après des périodes de repos. Raideur : L’inflammation peut conduire à une raideur de la colonne vertébrale, limitant la mobilité. Fusion des vertèbres : Si elle n’est pas traitée, la SA peut entraîner une fusion progressive des vertèbres, réduisant la flexibilité de la colonne vertébrale, ce qui peut mener à une posture rigide, parfois appelée « dos en bambou ».   Le rhumatisme psoriasique est une forme d’arthrite inflammatoire associée au psoriasis, une maladie de la peau. Elle affecte les articulations, souvent en parallèle avec les lésions cutanées du psoriasis.Les articulations des doigts et des orteils sont fréquemment touchées, ce qui peut entraîner gonflement, douleur, et déformation des articulations, provoquant parfois une condition appelée « doigt en saucisse ».   Maladies inflammatoires de l’intestin (MICI)    La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire chronique de l’intestin qui peut toucher n’importe quelle partie du tube digestif, provoquant des douleurs abdominales, de la diarrhée, de la fatigue, et des complications digestives. La rectocolite hémorragique (RCH) est une inflammation chronique limitée au côlon et au rectum, entraînant des symptômes tels que des douleurs abdominales, des diarrhées sanglantes, et une perte de poids. Elle affecte uniquement la muqueuse de l’intestin, contrairement à la maladie de Crohn qui peut affecter toutes les couches de la paroi intestinale.       Maladies inflammatoires dermatologiques    Le psoriasis est une maladie auto-immune de la peau qui provoque l’apparition de plaques rouges et squameuses, souvent sur les coudes, genoux et cuir chevelu, en raison d’une accélération de la production des cellules cutanées. La maladie de Verneuil (ou hidrosadénite suppurée) est une affection chronique de la peau, caractérisée par des abcès douloureux et des fistules sous les aisselles, dans l’aine ou autour des fesses, dus à l’inflammation des glandes sudoripares. La dermatite atopique (eczéma) est une maladie inflammatoire de la peau qui provoque des démangeaisons, des rougeurs et des éruptions cutanées, souvent en réponse à des allergènes ou irritants, et est fréquemment associée à des antécédents familiaux d’allergies.       Maladies inflammatoires du système nerveux    La sclérose en plaques est une maladie auto-immune du système nerveux central, où le système immunitaire attaque la myéline (la gaine protectrice des nerfs), entraînant des symptômes variés tels que des troubles moteurs, sensoriels, de la vision et de l’équilibre. La neuromyélite optique est une maladie inflammatoire rare qui touche principalement les nerfs optiques et la moelle épinière, causant des pertes de vision et des symptômes neurologiques, souvent confondue avec la sclérose en plaques mais avec des traitements différents. La myasthénie est une maladie neuromusculaire auto-immune où le système immunitaire attaque les récepteurs de l’acétylcholine, un neurotransmetteur essentiel à la contraction musculaire, provoquant une faiblesse musculaire qui s’aggrave avec l’effort.   Maladies inflammatoires respiratoires    L’asthme est une maladie respiratoire chronique caractérisée par une inflammation des voies respiratoires, entraînant des épisodes de difficultés respiratoires, de toux, de sifflements et de sensation d’oppression thoracique, souvent déclenchés par des allergènes ou des irritants. La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est une maladie pulmonaire progressive, principalement causée par le tabagisme, qui entraîne une inflammation et une obstruction des bronches, réduisant la capacité respiratoire et provoquant des symptômes tels que toux, essoufflement et expectorations.   Les symptômes communs aux maladies inflammatoires     Les signes typiques d’une inflammation     Les signes typiques d’une inflammation incluent : Douleur : due à l’irritation des tissus et à la libération de substances chimiques inflammatoires. Rougeur : causée par l’augmentation du flux sanguin vers la zone affectée. Chaleur : résultant de l’augmentation du métabolisme cellulaire dans la zone enflammée. Gonflement : dû à l’accumulation de liquide dans les tissus en réponse à l’inflammation. Fièvre : souvent présente lorsque l’inflammation est d’origine infectieuse, la température corporelle augmentant pour combattre l’infection. Fatigue et perte d’appétit : symptômes généraux qui accompagnent souvent une inflammation persistante.   Symptômes spécifiques selon les types de maladies inflammatoires    Les symptômes spécifiques varient en fonction des… Poursuivre la lecture Quelles maladies provoque une inflammation ? Guide des maladies inflammatoires 
quelles maladies provoquent une inflammation ?

Quelles maladies provoque une inflammation ? Guide des maladies inflammatoires 

Quelles maladies provoquent une inflammation ? Qu’est-ce qu’une maladie inflammatoire ?     Définition d’une maladie inflammatoire     Une maladie inflammatoire survient lorsqu’une activation excessive ou prolongée de la réponse immunitaire endommage les tissus et les organes. Cela peut toucher divers systèmes corporels, comme les articulations, l’intestin, ou la peau. L’inflammation est un mécanisme de défense naturel qui mobilise des cellules immunitaires pour éliminer les menaces et réparer les tissus. Si ce processus ne se résout pas, une inflammation chronique peut se développer, causant des dommages progressifs et favorisant des maladies graves. L’inflammation aiguë est une réaction rapide et temporaire, tandis que l’inflammation chronique persiste et peut entraîner des complications.   Maladies auto-immunes et inflammatoires : Quelle différence ?     Les maladies auto-immunes surviennent lorsque le système immunitaire attaque par erreur les tissus sains, entraînant une inflammation chronique qui peut endommager les organes, comme dans la polyarthrite rhumatoïde ou le lupus. À l’inverse, les maladies inflammatoires impliquent une inflammation qui n’est pas due à une auto-agression immunitaire, mais plutôt à des facteurs comme les infections ou les blessures, comme c’est le cas pour la maladie de Crohn.   Les principales catégories de maladies inflammatoires     Maladies inflammatoires rhumatologiques et articulaires    La polyarthrite rhumatoïde est une maladie auto-immune dans laquelle le système immunitaire attaque par erreur les tissus sains des articulations. Elle affecte principalement les articulations périphériques comme les mains, les poignets, les genoux et les pieds, mais peut aussi toucher d’autres organes. Les principales caractéristiques de la PR incluent : Inflammation : Cela provoque des symptômes comme douleur, gonflement, raideur, et chaleur au niveau des articulations. Déformation : En l’absence de traitement, l’inflammation chronique peut endommager les articulations, entraînant destruction articulaire et déformations visibles, comme des doigts en « coude de boutonnière » ou des poignets déformés.   La spondylarthrite ankylosante est une maladie inflammatoire chronique qui touche principalement la colonne vertébrale et les articulations sacro-iliaques. Elle est également liée à des troubles inflammatoires des articulations périphériques. Les principales caractéristiques de la SA sont : Douleurs lombaires chroniques : l’inflammation dans le bas du dos provoque une douleur constante, souvent plus marquée le matin ou après des périodes de repos. Raideur : L’inflammation peut conduire à une raideur de la colonne vertébrale, limitant la mobilité. Fusion des vertèbres : Si elle n’est pas traitée, la SA peut entraîner une fusion progressive des vertèbres, réduisant la flexibilité de la colonne vertébrale, ce qui peut mener à une posture rigide, parfois appelée « dos en bambou ».   Le rhumatisme psoriasique est une forme d’arthrite inflammatoire associée au psoriasis, une maladie de la peau. Elle affecte les articulations, souvent en parallèle avec les lésions cutanées du psoriasis.Les articulations des doigts et des orteils sont fréquemment touchées, ce qui peut entraîner gonflement, douleur, et déformation des articulations, provoquant parfois une condition appelée « doigt en saucisse ».   Maladies inflammatoires de l’intestin (MICI)    La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire chronique de l’intestin qui peut toucher n’importe quelle partie du tube digestif, provoquant des douleurs abdominales, de la diarrhée, de la fatigue, et des complications digestives. La rectocolite hémorragique (RCH) est une inflammation chronique limitée au côlon et au rectum, entraînant des symptômes tels que des douleurs abdominales, des diarrhées sanglantes, et une perte de poids. Elle affecte uniquement la muqueuse de l’intestin, contrairement à la maladie de Crohn qui peut affecter toutes les couches de la paroi intestinale.       Maladies inflammatoires dermatologiques    Le psoriasis est une maladie auto-immune de la peau qui provoque l’apparition de plaques rouges et squameuses, souvent sur les coudes, genoux et cuir chevelu, en raison d’une accélération de la production des cellules cutanées. La maladie de Verneuil (ou hidrosadénite suppurée) est une affection chronique de la peau, caractérisée par des abcès douloureux et des fistules sous les aisselles, dans l’aine ou autour des fesses, dus à l’inflammation des glandes sudoripares. La dermatite atopique (eczéma) est une maladie inflammatoire de la peau qui provoque des démangeaisons, des rougeurs et des éruptions cutanées, souvent en réponse à des allergènes ou irritants, et est fréquemment associée à des antécédents familiaux d’allergies.       Maladies inflammatoires du système nerveux    La sclérose en plaques est une maladie auto-immune du système nerveux central, où le système immunitaire attaque la myéline (la gaine protectrice des nerfs), entraînant des symptômes variés tels que des troubles moteurs, sensoriels, de la vision et de l’équilibre. La neuromyélite optique est une maladie inflammatoire rare qui touche principalement les nerfs optiques et la moelle épinière, causant des pertes de vision et des symptômes neurologiques, souvent confondue avec la sclérose en plaques mais avec des traitements différents. La myasthénie est une maladie neuromusculaire auto-immune où le système immunitaire attaque les récepteurs de l’acétylcholine, un neurotransmetteur essentiel à la contraction musculaire, provoquant une faiblesse musculaire qui s’aggrave avec l’effort.   Maladies inflammatoires respiratoires    L’asthme est une maladie respiratoire chronique caractérisée par une inflammation des voies respiratoires, entraînant des épisodes de difficultés respiratoires, de toux, de sifflements et de sensation d’oppression thoracique, souvent déclenchés par des allergènes ou des irritants. La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est une maladie pulmonaire progressive, principalement causée par le tabagisme, qui entraîne une inflammation et une obstruction des bronches, réduisant la capacité respiratoire et provoquant des symptômes tels que toux, essoufflement et expectorations.   Les symptômes communs aux maladies inflammatoires     Les signes typiques d’une inflammation     Les signes typiques d’une inflammation incluent : Douleur : due à l’irritation des tissus et à la libération de substances chimiques inflammatoires. Rougeur : causée par l’augmentation du flux sanguin vers la zone affectée. Chaleur : résultant de l’augmentation du métabolisme cellulaire dans la zone enflammée. Gonflement : dû à l’accumulation de liquide dans les tissus en réponse à l’inflammation. Fièvre : souvent présente lorsque l’inflammation est d’origine infectieuse, la température corporelle augmentant pour combattre l’infection. Fatigue et perte d’appétit : symptômes généraux qui accompagnent souvent une inflammation persistante.   Symptômes spécifiques selon les types de maladies inflammatoires    Les symptômes spécifiques varient en fonction des… Poursuivre la lecture Quelles maladies provoque une inflammation ? Guide des maladies inflammatoires 
Combien de temps doit durer une cure de curcuma ?

Combien de temps doit durer une cure de curcuma ? 

Combien de temps doit durer une cure de curcuma ? Quelle est la durée idéale d’une cure de curcuma ?   Durée recommandée pour une cure de curcuma   La durée d’une cure de curcuma est généralement recommandée entre 4 et 12 semaines. Cette cure peut être prolongée ou répétée après 2 semaines d’arrêt par exemple.  Les doses de curcumine recommandées pour les adultes varient entre 500 mg et 2000 mg par jour. Cette fourchette dépend souvent des besoins individuels et de l’objectif de la prise (anti-inflammatoire, antioxydant). Il est préférable de choisir des compléments contenant de la curcumine standardisée pour garantir une concentration efficace. Certains produits incluent également de la pipérine (extrait de poivre noir) pour améliorer l’absorption. (Form’Curcuma) Pour maximiser l’absorption et minimiser les effets secondaires potentiels, il est conseillé de diviser le dosage quotidien en 2 à 3 prises. Par exemple, si vous prenez 1500 mg par jour, vous pourriez le diviser en trois doses de 500 mg ou 600mg.   Adaptation selon les besoins spécifiques     Cure Anti-Inflammatoire : prendre entre 1000 mg et 2000 mg de curcumine par jour. Cela peut être divisé en 2 à 3 doses, à prendre avec des repas contenant des graisses pour optimiser l’absorption. Une cure anti-inflammatoire peut durer de 4 à 12 semaines minimum, selon la gravité de l’inflammation et la réponse individuelle au traitement. Cette cure est souvent utilisée dans le cas de douleurs articulaires (arthrose, arthrite…), des douleurs musculaires, et des maladies inflammatoires chroniques. Cure Digestive : pour améliorer la digestion et réduire les problèmes gastro-intestinaux, un dosage de 500 mg à 1000 mg de curcumine par jour est généralement suffisant. On peut répartir les prises en plusieurs doses. Une cure digestive peut être plus courte, de 2 à 4 semaines, selon les besoins. Si les symptômes persistent, il est possible d’étendre la cure. Cure Préventive (Immunité, antioxydants, vieillissement) : pour une cure préventive visant à renforcer le système immunitaire, un dosage de 500 mg à 1000 mg par jour est recommandé. Cela peut être pris de manière continue ou en cycles. Une cure préventive peut être envisagée sur le long terme, avec des cycles de 8 à 12 semaines suivis de pauses de 4 à 6 semaines. Cette approche est idéale pour les personnes souhaitant maintenir une bonne santé générale, prévenir les maladies et renforcer leur immunité, notamment pendant les saisons à risque (comme l’hiver).   Quand et pourquoi arrêter une cure de curcuma ?   Signes indiquant une pause nécessaire   On stoppera la prise de curcuma à l’apparition d’éventuels effets secondaires. Des symptômes tels que des douleurs abdominales, des nausées ou des diarrhées peuvent survenir, surtout à des doses élevées. Si ces symptômes persistent, il est conseillé de cesser la prise de curcuma. Des éruptions cutanées ou des réactions allergiques, bien que rares, peuvent également se manifester. En règle générale, une période de 4 semaines est suffisante pour évaluer les effets bénéfiques du curcuma sur l’inflammation ou d’autres problèmes de santé. Si aucune amélioration significative n’est constatée après cette période, il peut être utile de faire une pause ou de réévaluer l’utilisation du curcuma.    Fréquence des cures dans l’année   Cure Préventive : pour un effet anti-inflammatoire, antioxydante, il est généralement recommandé de suivre une cure 2 à 3 fois par an.  Cette approche vise à renforcer le système immunitaire et à prévenir l’apparition de maladies inflammatoires ou chroniques. Chaque cure peut durer 4 à 6 semaines, suivie de pauses de 1 à 2 mois entre chaque période de traitement. Cette alternance permet au corps de bénéficier des effets du curcuma sans s’habituer à sa présence, maximisant ainsi ses effets préventifs. Les cures préventives réduisent l’inflammation chronique, favorise un bon fonctionnement intestinal, lutte contre les effets néfastes des radicaux libres et par là contribue à lutter contre le vieillissement. Cure Thérapeutique : il est très fréquent que le curcuma soit à consommer sous forme de compléments dans des indications précises : crise d’arthrose, polyarthrite, troubles digestifs, autres douleurs inflammatoires. On pourra alors prendre jusqu’à 2000 mg de curcumine par jour pendant 6 à 8 semaines jusqu’à diminution des signes cliniques en particulier douloureux inflammatoire. Cette cure pourra être prolongée si nécessaire si les symptômes persistent même a minima. Ces cures pourront être renouvelées plusieurs fois par an.    Certains médicaments peuvent interagir avec le curcuma, il est donc recommandé de demander un avis un spécialiste en Micronutrition ou simplement votre médecin si la prise prolongée de fortes doses de curcuma est indiquée.  Dans tous les cas, sélectionnez des compléments qui sont associés avec du poivre noir pour une meilleure biodisponibilité, avec des gélules très concentrées en curcumine par exemple 300 mg par gélule.   Vous avez des questions ? Contactez-nous Nous vous répondrons au plus vite.
comment calmer une inflammation ?

Comment calmer une inflammation ? 

Comment calmer une inflammation ? Solutions naturelles pour calmer l’inflammation   Adopter une alimentation anti-inflammatoire   Pour réduire l’inflammation, il est bénéfique de consommer des aliments anti-inflammatoires : Aliments Riches en Oméga-3 Poissons gras : Saumon, sardines, maquereau, hareng, et thon. Ces poissons sont riches en acides gras oméga-3, qui combattent l’inflammation. Graines de lin et graines de chia : Sources végétales d’oméga-3, elles peuvent être ajoutées aux smoothies, yaourts, ou céréales. Noix : En particulier les noix de Grenoble, qui contiennent des acides gras oméga-3 bénéfiques pour la réduction de l’inflammation. Fruits et Légumes Colorés Fruits rouges : Myrtilles, fraises, framboises, et mûres. Ils sont riches en anthocyanines, des antioxydants qui réduisent l’inflammation. Agrumes : Oranges, pamplemousses, et citrons. Riches en vitamine C, qui joue un rôle anti-inflammatoire. Légumes-feuilles verts : Épinards, chou kale, et blettes. Ils contiennent de la vitamine E, un antioxydant puissant. Brocoli et choux de Bruxelles : Ces légumes crucifères sont riches en sulforaphane, un composé qui réduit l’inflammation. Avocats : Ils contiennent des graisses saines, des fibres, et des composés phytochimiques qui combattent l’inflammation. Aliments Riche en Antioxydants Baies de goji, cerises et raisins : Contiennent des antioxydants qui neutralisent les radicaux libres. Tomates : Riches en lycopène, un puissant antioxydant. Le lycopène est encore plus disponible dans les tomates cuites. Herbes et Épices Anti-inflammatoires Curcuma : Contient de la curcumine, un composé anti-inflammatoire puissant. Il est plus efficace lorsqu’il est consommé avec du poivre noir, qui en améliore l’absorption. Gingembre : Réduit l’inflammation et soulage les douleurs articulaires. Ail : Contient de l’allicine, un composé qui diminue l’inflammation. Cannelle et clous de girofle : Possèdent des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires. Huile d’olive extra vierge : Riche en acide oléique, une graisse saine qui réduit l’inflammation. Huile de noix et huile de lin : Sources d’acides gras oméga-3. Céréales Complètes Quinoa, avoine, riz brun, et sarrasin : Contrairement aux céréales raffinées, les céréales complètes contiennent des fibres qui réduisent les niveaux de CRP (protéine C-réactive), un marqueur de l’inflammation. Légumineuses Lentilles, pois chiches, haricots noirs : Sources de fibres, de protéines végétales, et de composés anti-inflammatoires. Aliments Fermentés et Probiotiques Kéfir, yaourt, choucroute, kimchi : Améliorent la santé intestinale, ce qui joue un rôle clé dans la régulation de l’inflammation. Chocolat Noir (à Haute Teneur en Cacao) Thé Vert   Utiliser des herbes et des épices aux vertus anti-inflammatoires   Certaines herbes et épices sont réputées pour leurs puissantes propriétés anti-inflammatoires, pouvant soulager les douleurs et réduire l’inflammation chronique : Curcuma : le curcuma contient de la curcumine, un composé actif aux effets anti-inflammatoires et antioxydants. Il aide à réduire l’inflammation articulaire et les douleurs associées, comme dans l’arthrite. Gingembre : le gingembre est utilisé depuis des siècles pour ses bienfaits anti-inflammatoires, grâce à des composés appelés gingérols. Il est efficace pour soulager les douleurs musculaires et les inflammations. Boswellia : également connue sous le nom d’encens indien, la boswellia est une plante anti-inflammatoire utilisée pour traiter les douleurs articulaires et les troubles inflammatoires chroniques.   Boire des infusions et des boissons anti-inflammatoires   Les infusions et boissons anti-inflammatoires peuvent aider à calmer l’inflammation dans le corps, tout en apportant des bienfaits relaxants et hydratants. Thé vert Camomille Tisane de curcuma   Par ailleurs, l’hydratation est essentielle pour lutter contre l’inflammation. Boire suffisamment d’eau aide le corps à éliminer les toxines, favorise le bon fonctionnement des organes, et maintient les articulations lubrifiées.   Huiles essentielles anti-inflammatoires   Huile de Gaulthérie Huile d’Eucalyptus Huile de Lavande   Utilisez un diffuseur adapté pour bénéficier des bienfaits des huiles essentielles dans l’air ambiant, en limitant la diffusion à 30 minutes par session. Dilution : Les huiles essentielles doivent toujours être diluées dans une huile végétale avant application sur la peau, afin d’éviter les irritations ou les réactions allergiques.   Les compléments alimentaires NFB   NFB Healthcare propose une gamme complète de compléments alimentaires anti-inflammatoires. Nutri’Oméga 3 DHA Chaque gélule contient 250 mg de DHA, permettant d’obtenir l’allégation anti-inflammatoires officielle européenne. En cas d’inflammation chronique et persistante on pourra monter la dose à 2 gélules par jour, voire 4 gélules par jour si nécessaire. Les oméga 3 de NFB ont tous les labels de qualité, sont dénués de polluants, et purifiés. Form’ CurcumaIl contient 300 mg de curcumine par gélule, une dose de 2 gélules par jour soit 600 mg par jour permet d’avoir un effet antioxydant. Si on recherche en effet anti-inflammatoire majeur très efficace, on favorisera la prise de 2 gélules matin midi et soir. Form’Chondro ProtectIl s’agit d’un complément alimentaire destiné à protéger les articulations de l’inflammation, de l’usure, du stress oxydant. Il protège le cartilage, les ligaments. Il permet également de diminuer l’inflammation locale et donc des douleurs réactionnelles type arthrose ou arthrite. Beauty’Bourrache OnagreCe complément est riche en huile de bourrache et huile d’onagre tout 2 étant des oméga 6 anti-inflammatoires. Le Bourrache Onagrepremier est riche en GLA et plutôt orienté vers la peau, permettant de la réhydrater de reconstituer le film lipidique protecteur. Il est indiqué pour les peaux sèches, les problèmes d’eczéma, psoriasis, de prurit.L’onagre présent dans ce complément est également un oméga 6 anti-inflammatoire riche en DGLA, plutôt à orientation anti-inflammatoire pelvien. Il est utile dans le syndrome prémenstruel et au niveau de la peau.   Approches médicales pour apaiser l’inflammation   Traitements médicaux pour calmer l’inflammation   Anti-inflammatoires Non Stéroïdiens : les AINS, tels que l’ibuprofène, le naproxène ou l’aspirine, sont des médicaments couramment utilisés pour soulager l’inflammation, la douleur et la fièvre. Ils agissent en inhibant les enzymes responsables de la production de prostaglandines, des substances qui contribuent à l’inflammation. Efficaces pour les inflammations aiguës comme les douleurs musculaires, les maux de tête, et les douleurs articulaires légères, ils sont totalement inefficaces sur l’inflammation chronique Corticoïdes : les corticoïdes sont des anti-inflammatoires puissants à ne pas utiliser durablement sauf indications médicales précises. Une fois l’inflammation chronique diagnostiquée, plusieurs mesures devront être prises notamment diététique. On adoptera une alimentation anti-inflammatoire, riche en polyphénols, en oméga 3, pauvres en oméga… Poursuivre la lecture Comment calmer une inflammation ? 
Arthrose : Curcuma ou Harpagophytum, quelle plante choisir ?

Arthrose : Curcuma ou Harpagophytum, quelle plante choisir ?

Arthrose : Curcuma ou Harpagophytum, quelle plante choisir ? Curcuma vs Harpagophytum : Deux approches complémentaires contre l’arthrose   L’arthrose est une affection dégénérative et inflammatoire des articulations qui peut entraîner des douleurs chroniques et une limitation de la mobilité. Face à cette pathologie, le curcuma et l’harpagophytum se présentent comme deux options naturelles prometteuses Les propriétés anti-inflammatoires du curcuma   Curcumine : le principe actif clé La curcumine, le composé principal du curcuma, possède des propriétés anti-inflammatoires reconnues. Elle agit principalement en inhibant les voies de signalisation pro-inflammatoires, notamment le facteur nucléaire kappa B (NF-κB) et les cytokines pro-inflammatoires comme l’interleukine-1 et le TNF-alpha. Ces effets aident à réduire l’inflammation dans les articulations, contribuant ainsi à soulager la douleur associée à l’arthrose. Études Cliniques Des études cliniques ont montré que la curcumine peut significativement réduire les douleurs articulaires et améliorer la fonction physique chez les patients arthrosiques. Une étude randomisée en double aveugle a révélé que l’administration de curcumine pendant 6 semaines réduisait la douleur et améliorait la mobilité fonctionnelle par rapport à un placebo. Une autre étude a confirmé que la curcumine était aussi efficace que certains anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) dans le traitement de l’arthrose, avec moins d’effets secondaires. Les vertus analgésiques de l’harpagophytum   Harpagosides : les composés actifs L’harpagophytum, également connu sous le nom de « griffe du diable », contient des composés actifs appelés harpagosides, qui possèdent des propriétés analgésiques et anti-inflammatoires. Ces molécules agissent en inhibant la synthèse des prostaglandines, des substances chimiques qui contribuent à la douleur et à l’inflammation. En diminuant ces composés, l’harpagophytum peut apporter un soulagement significatif des douleurs articulaires. Recherches Scientifiques Des études cliniques ont démontré l’efficacité de l’harpagophytum dans la gestion de l’arthrose. Une méta-analyse a révélé que les patients traités avec de l’harpagophytum présentaient une réduction significative des douleurs articulaires par rapport à ceux recevant un placebo. D’autres études ont montré que l’harpagophytum pouvait améliorer la mobilité et la qualité de vie des personnes souffrant d’arthrose, confirmant ainsi son potentiel thérapeutique. Références Koo, B. S., et al. (2015). « Anti-inflammatory effects of curcumin on osteoarthritis. » Journal of Medicinal Food. Gupta, S. C., et al. (2013). « Curcumin, a component of turmeric: from farm to pharmacy. » BioFactors Daily, J. W., et al. (2016). « Efficacy of curcumin in reducing pain and improving function in osteoarthritis: a systematic review. » Journal of Pain Research. Yang, Y., et al. (2016). « Effects of curcumin on osteoarthritis. » Journal of Pharmacological Sciences. Gagnier, J. J., et al. (2006). « Harpagophytum procumbens for osteoarthritis. » Cochrane Database of Systematic Reviews. Coon, J. T., & Ernst, E. (2004). « Haridra (turmeric) and harpagophytum (devil’s claw) in osteoarthritis. » Clinical Rheumatology. Bock, M., et al. (2009). « Effect of Harpagophytum on pain and mobility in osteoarthritis patients. » Phytomedicine. Schmid, B. J., et al. (2015). « Harpagophytum extract for the treatment of osteoarthritis. » International Journal of Rheumatic Diseases.   Curcuma et harpagophytum : Pour quelles situations choisir l’un ou l’autre ?   Le curcuma et l’harpagophytum sont souvent utilisés pour soulager les douleurs articulaires, notamment dans le cadre de l’arthrose. Toutefois, leurs propriétés et leurs applications diffèrent, et il est essentiel de savoir quand privilégier l’un ou l’autre.   Quand privilégier le curcuma pour l’arthrose ?   Action anti-Inflammatoire systémiqueLe curcuma est particulièrement bénéfique dans les cas d’inflammation généralisée. Sa curcumine active l’inhibition des voies pro-inflammatoires, ce qui en fait un choix judicieux pour les patients souffrant de maladies inflammatoires chroniques telles que : Polyarthrite Rhumatoïde : Des études montrent que la curcumine peut réduire l’inflammation et la douleur chez les patients atteints de cette maladie auto-immune. Maladies Inflammatoires de l’Intestin (MII) : Le curcuma a également montré des effets positifs dans la réduction de l’inflammation intestinale. Efficacité sur les troubles digestifs associésEn plus de ses propriétés anti-inflammatoires, le curcuma peut également atténuer les symptômes digestifs associés à l’arthrose, tels que les ballonnements et les douleurs abdominales. Cela est particulièrement important pour les patients qui souffrent à la fois d’arthrose et de troubles gastro-intestinaux.   Quand opter pour l’harpagophytum ?   Soulagement rapide des douleursL’harpagophytum est recommandé pour un soulagement immédiat des douleurs articulaires, en particulier lors des poussées aiguës d’arthrose. Ses harpagosides agissent rapidement pour réduire l’inflammation et la douleur. Cela en fait un choix idéal lorsque des douleurs aiguës surviennent. Amélioration de la flexibilité et de la mobilitéCette plante est également efficace pour améliorer la flexibilité et la mobilité, notamment dans les cas de raideurs matinales. Les patients souffrant d’une amplitude de mouvement réduite peuvent bénéficier de ses effets analgésiques et anti-inflammatoires, ce qui facilite leur routine quotidienne.   L’association curcuma-harpagophytum : Une synergie intéressante ?   Combiner le curcuma et l’harpagophytum peut offrir une approche thérapeutique synergique. Le curcuma apporte un soutien systémique contre l’inflammation, tandis que l’harpagophytum se concentre sur le soulagement immédiat de la douleur. Cette complémentarité peut conduire à un soulagement plus efficace des symptômes d’arthrose. Conseils de prise combinéePour maximiser les effets, il est conseillé de suivre les dosages recommandés pour chaque plante. Typiquement : Curcuma : Entre 500 mg et 2000 mg de curcumine par jour, en plusieurs doses. Harpagophytum : 600 mg à 1200 mg par jour, selon la forme (poudre, extrait standardisé).   Références Zeng, C. et al. (2015). « Curcumin as a treatment for rheumatoid arthritis: A systematic review. » Evidence-Based Complementary and Alternative Medicine. Tjandra, J. J., et al. (2016). « Curcumin in the treatment of inflammatory bowel disease. » Journal of Clinical Gastroenterology. Hewlings, S. J., & Kalman, D. S. (2017). « Curcumin: A review of its effects on human health. » Foods. Coon, J. T., & Ernst, E. (2004). « Harpagophytum for the treatment of osteoarthritis. » Cochrane Database of Systematic Reviews. Mazzio, E. A., & Soliman, K. F. (2016). « Nutritional and therapeutic role of Devil’s Claw. » Journal of Evidence-Based Complementary & Alternative Medicine. Michalsen, A., & Lüdtke, R. (2005). « Efficacy of Devil’s Claw in osteoarthritis. » European Journal of Pain. Saha, S., & Kaur, G. (2013). « Synergistic effects of curcumin and harpagophytum in inflammation. » Journal of Inflammation. Fuchs, M., & Ziegler, R. (2009). « Combination of curcumin and harpagophytum in the treatment… Poursuivre la lecture Arthrose : Curcuma ou Harpagophytum, quelle plante choisir ?
Comment consommer le curcuma et le gingembre : Le guide complet

Comment consommer le curcuma et le gingembre : Le guide complet

Comment consommer le curcuma et le gingembre : le guide complet Les bienfaits du curcuma et du gingembre pour la santé Le curcuma et le gingembre sont riches en composés antioxydants et anti-inflammatoires, aidant à réduire les inflammations chroniques et à renforcer le système immunitaire. Ils peuvent également soutenir la digestion, améliorer la santé cardiovasculaire et possèdent des propriétés protectrices contre certaines maladies neurodégénératives et cancers. Ces deux racines sont de puissants alliés pour la santé générale, surtout lorsqu’elles sont intégrées régulièrement à une alimentation équilibrée. Les propriétés du curcuma Le curcuma (Curcuma longa) et son principal composant actif, la curcumine, possèdent de nombreuses propriétés thérapeutiques, notamment sur le système digestif. La curcumine est largement reconnue pour ses puissantes propriétés anti-inflammatoires, agissant sur plusieurs molécules inflammatoires comme les cytokines et les prostaglandines. Cela aide à réduire l’inflammation chronique qui peut affecter plusieurs systèmes, y compris le système digestif. Le curcuma neutralise les radicaux libres grâce entre autres à la curcumine, qui protège les cellules et les tissus contre les dommages oxydatifs. Il possède également des propriétés antibactériennes et antifongiques qui aident à prévenir les infections gastro-intestinales. Les propriétés du Gingembre Le gingembre est particulièrement efficace pour soulager les nausées liées au mal des transports, aux nausées matinales pendant la grossesse, ou aux effets secondaires de la chimiothérapie. Cela est dû à ses composés actifs, dont les gingérols et les shogaols, qui agissent en bloquant les récepteurs de la sérotonine dans le cerveau et dans l’intestin, responsables des sensations de nausée. Il aide à accélérer le processus de vidange gastrique, réduisant les symptômes de l’indigestion, les ballonnements et les gaz. Il stimule la production d’enzymes digestives et aide ainsi à la décomposition des aliments. Ses propriétés carminatives aident à réduire les gaz intestinaux. Le gingembre agit également comme un stimulant naturel en raison de ses effets tonifiants et énergisants sur le corps et l’esprit. En stimulant la circulation sanguine, le gingembre améliore l’oxygénation des cellules, ce augmente l’énergie et combat la fatigue. Il possède aussi des propriétés thermogéniques qui augmentent la chaleur corporelle, contribuant à la combustion des calories et favorisant un sentiment de vitalité. Enfin, il améliore les fonctions cognitives, en particulier la mémoire et la concentration, grâce à ses propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires. Il aide également à réduire le stress oxydatif et peut ainsi protéger le cerveau des dommages cellulaires. Les différentes façons de consommer du curcuma et du gingembre En cuisine : comment intégrer ces épices dans vos plats ? Ces deux épices sont polyvalentes et peuvent être incorporées dans de nombreux plats, sucrés ou salés, pour leurs bienfaits et saveurs. Voici deux idées détaillées : Curry de légumes au curcuma et gingembre Ingrédients : Pommes de terre, pois chiches, épinards, lait de coco, gingembre frais, curcuma, cumin, coriandre.Préparation : Faites revenir le gingembre et le curcuma dans un peu d’huile avec du cumin et de la coriandre. Ajoutez les légumes de votre choix (pommes de terre, carottes, pois chiches), versez le lait de coco, et laissez mijoter jusqu’à ce que tout soit cuit. Les épices forment une base riche et parfumée, idéale pour accompagner du riz basmati. Smoothie à la mangue, curcuma et gingembre Ingrédients : Mangue, banane, lait d’amande, curcuma, gingembre frais, miel.Préparation : Dans un blender, mixez tous les ingrédients jusqu’à l’obtention d’une texture lisse. Le curcuma et le gingembre apportent un coup de fouet à ce smoothie riche en antioxydants. En complément alimentaire NFB Les compléments à base de curcuma sont principalement utilisés pour les douleurs et l’inflammation chroniques. La curcumine possède des propriétés anti-inflammatoires puissantes et aide à réduire la douleur associée à des maladies inflammatoires chroniques comme l’arthrose ou la polyarthrite rhumatoïde. Des études ont montré que la prise de curcumine pouvait réduire les douleurs articulaires et améliorer la mobilité. Le curcuma peut être bénéfique pour les personnes souffrant de MICI, de colite ulcéreuse ou de maladie de Crohn. Ses effets anti-inflammatoires aident à apaiser l’inflammation intestinale et à réduire les symptômes. L’inflammation chronique est un facteur de risque dans les maladies cardiaques. La curcumine réduit les marqueurs inflammatoires comme la CRP (protéine C-réactive) et protége les parois artérielles. Elle améliore également la sensibilité à l’insuline et diminue l’inflammation associée au syndrome métabolique, permettant de mieux contrôler la glycémie et de prévenir les complications du diabète. Elle peut aussi avoir un effet protecteur sur le cerveau et ralentir la progression des maladies comme Alzheimer et Parkinson, en réduisant l’inflammation cérébrale et le stress oxydatif. Enfin, en raison de ses propriétés antimicrobiennes, la curcumine peut aider à combattre certaines infections chroniques associées à une inflammation persistante, comme certaines infections intestinales. Astuces pour maximiser les bienfaits du curcuma et du gingembre Associer le curcuma à la pipérine pour une meilleure absorption Le curcuma, reconnu pour ses puissantes propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes, est surtout valorisé pour sa composante active, la curcumine. Cependant, l’absorption de la curcumine dans le corps humain est relativement faible. C’est là qu’intervient la pipérine, un composé bioactif présent dans le poivre noir, qui joue un rôle important dans l’optimisation de la biodisponibilité de la curcumine. Ajouter des lipides à vos recettes L’absorption de la curcumine, le principal composant actif du curcuma, est influencée par la présence de graisses dans l’alimentation. Les graisses améliorent la biodisponibilité de la curcumine pour plusieurs raisons : la curcumine est liposoluble, comme tous les polyphénols, ce qui signifie qu’elle se dissout mieux dans les graisses. Lorsque vous consommez de la curcumine avec des graisses, celle-ci se mélange et forme une émulsion, facilitant son passage à travers la membrane intestinale et son absorption dans le sang. Les graisses protége la curcumine contre la dégradation dans l’estomac, permettant ainsi une plus grande quantité à atteindre l’intestin grêle, où l’absorption se produit.En ajoutant de l’huile (comme l’huile d’olive ou de colza) ou du lait de coco à vos plats contenant du curcuma, vous maximisez non seulement les bienfaits de la curcumine, mais vous améliorez également le goût et la texture de vos plats. Ces graisses saines favorisent l’absorption et… Poursuivre la lecture Comment consommer le curcuma et le gingembre : Le guide complet
En moyenne, combien de temps dure une inflammation ?

En moyenne, combien de temps dure une inflammation ? Durée, types et conseils

En moyenne, combien de temps dure une inflammation ? Durée, types et conseils Qu’est-ce qu’une inflammation ? Définition de l’inflammation et son rôle dans le corps L’inflammation est une réponse immunitaire naturelle du corps face à des agressions, qu’elles soient d’origine infectieuse (virus, bactéries, champignons), physique (blessures, coups, coupures) ou chimique (toxines, agents polluants). Cette réponse est orchestrée par le système immunitaire et implique une série de réactions cellulaires et moléculaires visant à neutraliser la cause de l’agression, à réparer les tissus endommagés et à restaurer l’homéostasie. Les signes et symptômes d’une inflammation Il y a traditionnellement cinq signes caractéristiques de l’inflammation, qui remontent à l’Antiquité et ont été décrits par le médecin romain Aulus Cornelius Celsus : Rougeur (Rubor) Chaleur (Calor) Gonflement (Tumor) Douleur (Dolor) Perte de fonction (Functio laesa)   Outre les signes locaux classiques mentionnés ci-dessus, l’inflammation peut aussi entraîner des symptômes généraux dans le corps, surtout lorsqu’elle devient systémique (c’est-à-dire qu’elle affecte l’ensemble du corps). Fièvre Fatigue Frissons Perte d’appétit Augmentation du rythme cardiaque   Types d’Inflammation et Variabilité des Symptômes Les symptômes de l’inflammation peuvent varier en fonction du type d’inflammation (aiguë ou chronique) et de sa localisation dans le corps. Inflammation aiguëElle se manifeste généralement par des signes locaux évidents, comme la rougeur, la chaleur, la douleur et le gonflement. La fièvre peut également survenir si l’inflammation est liée à une infection. Inflammation chroniqueLes symptômes sont souvent plus subtils et peuvent persister pendant des mois ou des années. L’inflammation chronique est une des causes du vieillissement. A noter que les antis inflammatoires traditionnels sont totalement inefficaces. Seule la prise d’acide gras poly insaturés comme les oméga 3, la consommation de polyphénols sont efficaces. Durée moyenne d’une inflammation : de l’aiguë à la chronique La durée de l’inflammation aiguë En règle générale, une inflammation aiguë dure entre 2 et 7 jours, mais elle peut être plus courte ou plus longue, selon la gravité de l’agression et la réponse immunitaire de l’organisme. Après ce laps de temps, si l’agression disparaît et que le corps se remet, l’inflammation aiguë est généralement résolue sans laisser de séquelles. Phases de l’Inflammation Aiguë Phase vasculaire (quelques heures) : Les vaisseaux sanguins se dilatent et deviennent plus perméables pour permettre aux cellules immunitaires et aux protéines de se rendre sur le site de l’agression. Phase cellulaire (quelques heures à 2 jours) : Les leucocytes (globules blancs) comme les neutrophiles et macrophages migrent vers la zone affectée pour éliminer les agents pathogènes, les débris cellulaires et réparer les tissus endommagés. Phase de résolution (quelques jours à une semaine) : Une fois l’agression éliminée, le processus inflammatoire commence à se résorber, avec le retour des tissus à un état normal. Les cellules inflammatoires sont éliminées, et la guérison commence. Exemples de Situations Courantes d’Inflammation Aiguë Voici quelques exemples de situations courantes où l’inflammation aiguë se manifeste : Entorse ou contusion Infection de la gorge Coup de soleil  … La durée de l’inflammation chronique L’inflammation est une réponse naturelle du système immunitaire visant à protéger le corps contre les infections, les blessures et les toxines. Cependant, lorsqu’elle persiste au-delà de la phase de guérison, elle peut devenir chronique, entraînant des déséquilibres dans l’organisme et contribuant à diverses maladies. L’inflammation devient chronique lorsque la réponse inflammatoire persiste pendant plusieurs mois ou années, même en l’absence d’agression externe. Normalement, une inflammation aiguë est de courte durée, durant de quelques heures à quelques jours, et permet au corps de combattre une infection ou de réparer des tissus endommagés. Lorsqu’elle devient chronique, l’inflammation reste active et entretient une réaction immunitaire prolongée, ce qui peut endommager les tissus sains, affaiblir le système immunitaire et favoriser le développement de maladies chroniques. Exemples de Situations Courantes d’Inflammation Aiguë Voici quelques exemples de situations courantes où l’inflammation aiguë se manifeste : Arthrite (polyarthrite rhumatoïde et arthrite psoriasique) Maladies auto-immunes Maladies inflammatoires de l’intestin (MICI) Maladies cardiovasculaires Diabète de type 2 Facteurs influençant la durée de l’inflammation L’impact de l’âge sur l’inflammation Avec l’âge, notre organisme subit de nombreux changements, y compris au niveau de la réponse immunitaire. Un phénomène spécifique, appelé décrit la tendance de l’organisme à présenter un état inflammatoire léger et persistant avec l’avancée en âge. Cette inflammation de bas niveau peut fragiliser les systèmes corporels et favoriser l’apparition de maladies chroniques liées au vieillissement. (maladies cardiovasculaires, diabète, maladies neurodégénératives, et même certains cancers). Plusieurs facteurs expliquent l’augmentation de l’inflammation avec l’âge : Vieillissement immunitaire (immunosénescence) : Avec l’âge, le système immunitaire devient moins efficace, et ses réponses deviennent déséquilibrées. Accumulation de cellules sénescentes : Les cellules vieillissantes, appelées cellules sénescentes, cessent de se diviser et libèrent des molécules inflammatoires. Stress oxydatif : Avec le temps, les dommages causés par les radicaux libres augmentent, ce qui entraîne un stress oxydatif accru.. Modification du microbiote intestinal : Le microbiote évolue également avec l’âge, et cette modification peut favoriser la croissance de bactéries pro-inflammatoires, qui influencent la réponse immunitaire. Mode de vie et inflammation L’inflammation est un processus naturel du corps, qui aide à combattre les infections et à guérir les blessures. Mais lorsque cette réponse immunitaire persiste sans raison, elle devient chronique et peut entraîner des problèmes de santé, comme les maladies cardiaques, le diabète et l’arthrite. Heureusement, plusieurs aspects de notre mode de vie peuvent influencer le niveau d’inflammation dans notre corps : Alimentation Activité physique Gestion du stress Tabagisme et alcool Poids de santé Qualité du sommeil Les étapes de la guérison de l’inflammation La phase aiguë de l’inflammation L’inflammation est la première ligne de défense de notre corps face aux infections, blessures ou agressions externes. La phase aiguë de l’inflammation est une réaction immédiate et rapide qui se déclenche en réponse à un dommage tissulaire. Son objectif est de limiter les dommages, d’éliminer les agents pathogènes et de préparer la guérison. La phase de résolution Après l’élimination des agents pathogènes ou des cellules endommagées, l’objectif de cette phase est de réparer les tissus et de restaurer l’équilibre sans dommages supplémentaires.La phase de résolution permet de : Éviter… Poursuivre la lecture En moyenne, combien de temps dure une inflammation ? Durée, types et conseils
Comment utiliser le curcuma comme anti-inflammatoire

Comment utiliser le curcuma comme anti-inflammatoire : Guide complet

Comment utiliser le curcuma comme anti-inflammatoire : Guide complet Le curcuma, une épice traditionnelle issue de la racine de Curcuma longa, est largement utilisé pour ses propriétés médicinales, en particulier pour son potentiel anti-inflammatoire. Le principal composant actif du curcuma, la curcumine, est à l’origine de nombreux effets bénéfiques observés dans diverses études scientifiques. Mécanismes d’action anti-inflammatoire : Propriétés de la curcumine Inhibition des médiateurs de l’inflammation : La curcumine exerce une action anti-inflammatoire en inhibant la production de cytokines pro-inflammatoires telles que l’IL-1, l’IL-6 et le TNF-α. Ces cytokines sont des protéines qui jouent un rôle clé dans la réponse inflammatoire et peuvent exacerber les maladies chroniques telles que l’arthrite et les maladies inflammatoires de l’intestin Blocage du facteur nucléaire kappa B (NF-κB) : La curcumine interrompt la cascade de signalisation qui active NF-κB, un facteur de transcription impliqué dans l’expression des gènes responsables de l’inflammation. Ce mécanisme contribue à réduire l’inflammation systémique et locale Antioxydant puissant : En tant qu’antioxydant, la curcumine neutralise les radicaux libres, réduisant ainsi le stress oxydatif, qui est un facteur aggravant de l’inflammation Preuves de l’efficacité anti inflammatoire du curcuma L’efficacité anti-inflammatoire du curcuma, principalement attribuée à la curcumine, a fait l’objet de nombreuses études scientifiques. Détails scientifiquesDes études en laboratoire sur des cultures cellulaires et sur des animaux ont montré que la curcumine exerce de puissants effets anti-inflammatoires. Elle agit en inhibant plusieurs molécules liées à l’inflammation, telles que : NF-kB (Facteur nucléaire kappa B) : Une protéine qui joue un rôle clé dans la régulation des réponses inflammatoires. La curcumine empêche l’activation de NF-kB, ce qui réduit l’expression des gènes pro-inflammatoires. COX-2 (Cyclooxygénase-2) et LOX (Lipoxygénase) : Ce sont des enzymes impliquées dans la production de molécules pro-inflammatoires, comme les prostaglandines et les leucotriènes. La curcumine a montré sa capacité à inhiber l’activité de ces enzymes, réduisant ainsi l’inflammation. Essais cliniques chez l’homme Plusieurs essais cliniques ont été réalisés pour évaluer les effets anti-inflammatoires de la curcumine chez les humains, notamment dans le cadre de maladies inflammatoires chroniques. Polyarthrite rhumatoïde : Un essai randomisé publié en 2012 a comparé l’efficacité de la curcumine (500 mg par jour) à celle du diclofénac (50 mg par jour), un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) couramment utilisé. Les résultats ont montré que la curcumine réduisait les symptômes de la polyarthrite rhumatoïde de manière plus significative que le diclofénac, sans provoquer d’effets secondaires graves. Maladies inflammatoires de l’intestin (MICI) : Plusieurs études ont montré que la curcumine pouvait atténuer les symptômes de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin, comme la colite ulcéreuse. Une étude publiée dans Clinical Gastroenterology and Hepatology en 2015 a révélé que les patients atteints de colite ulcéreuse en rémission, prenant de la curcumine en plus de leur traitement standard, avaient des taux de rechute plus faibles que ceux prenant un placebo. Arthrose : Une méta-analyse de 2016, qui a examiné plusieurs études cliniques sur l’arthrose, a conclu que la curcumine pouvait réduire les douleurs articulaires et améliorer la mobilité, de manière comparable aux AINS, mais avec moins d’effets secondaires gastro-intestinaux. Mécanismes d’action de la curcumine Les effets anti-inflammatoires de la curcumine se manifestent par plusieurs mécanismes, dont : Inhibition des cytokines pro-inflammatoires : La curcumine réduit la production de cytokines comme l’IL-6, le TNF-alpha et l’IL-1, qui sont des molécules signalant l’inflammation. Réduction du stress oxydatif : L’inflammation chronique est souvent associée à un stress oxydatif. La curcumine agit comme un antioxydant, neutralisant les radicaux libres et réduisant les dommages oxydatifs associés à l’inflammation. Comparaison avec les anti-inflammatoires classiques La curcumine est souvent comparée aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), tels que l’ibuprofène ou le diclofénac, qui sont couramment utilisés pour traiter l’inflammation. Bien que les AINS agissent rapidement et de manière puissante, ils présentent des effets secondaires potentiels, notamment des ulcères gastriques, des saignements et des troubles rénaux. La curcumine, quant à elle, offre un profil d’effets secondaires plus favorable, bien que son efficacité puisse varier selon la forme utilisée (ex. curcumine non absorbée vs curcumine avec pipérine pour améliorer sa biodisponibilité). Limitations des études Bien que les résultats des études sur la curcumine soient prometteurs, plusieurs facteurs doivent être pris en compte : Biodisponibilité faible : La curcumine est mal absorbée par l’organisme, ce qui peut limiter son efficacité clinique. Toutefois, certaines formulations améliorées, comme l’ajout de pipérine (extrait de poivre noir) ou l’utilisation de curcumine liposomale, permettent d’augmenter la biodisponibilité. Variabilité des dosages : Les études utilisent des doses de curcumine très variables, ce qui rend difficile la standardisation des recommandations pour un usage thérapeutique. Sources :  Chandran B, Goel A. A randomized, pilot study to assess the efficacy and safety of curcumin in patients with active rheumatoid arthritis. Phytother Res. 2012. Lang A, et al. Curcumin in combination with mesalamine induces remission in patients with mild-to-moderate ulcerative colitis in a randomized controlled trial. Clin Gastroenterol Hepatol. 2015. Daily JW, et al. Efficacy of turmeric extracts and curcumin for alleviating the symptoms of joint arthritis: a systematic review and meta-analysis of randomized clinical trials. J Med Food. 2016. Vous avez des questions ? Contactez-nous Nous vous répondrons au plus vite.
Pourquoi prendre des oméga 3 ?

Pourquoi prendre des Oméga 3 ?

Pourquoi prendre des Oméga 3 ? Comprendre les différents types d’Oméga 3 Les oméga-3 sont des acides gras essentiels que le corps ne peut fabriquer, jouant un rôle clé dans le fonctionnement du cœur, du cerveau, et dans la réduction de l’inflammation. Il existe trois types principaux d’oméga-3 : l’ALA, l’EPA, et le DHA, chacun avec des sources et des bienfaits spécifiques. Acide Alpha-Linolénique (ALA)L’ALA (acide alpha-linolénique) est un oméga-3 d’origine végétale. On le trouve principalement dans les graines de lin, les graines de chia, les noix, et certaines huiles végétales comme l’huile de colza. Bien que bénéfique, le corps transforme seulement une petite partie de l’ALA en EPA et DHA, rendant nécessaire la consommation de ces deux autres types d’oméga-3 directement par d’autres sources. Acide Eicosapentaénoïque (EPA)L’EPA (acide eicosapentaénoïque) est un oméga-3 d’origine marine. Il est présent dans les poissons gras comme le saumon, le maquereau, et les sardines. L’EPA est particulièrement reconnu pour ses propriétés anti-inflammatoires, utiles dans la réduction des risques cardiovasculaires et l’atténuation de certains troubles inflammatoires. Acide Docosahexaénoïque (DHA)Le DHA (acide docosahexaénoïque), également d’origine marine, est essentiel pour la santé du cerveau et des yeux, car il est un composant majeur des membranes cellulaires dans le cerveau et la rétine. En plus des poissons gras, on trouve du DHA dans certaines algues, ce qui en fait une source adaptée pour les personnes suivant un régime végétalien. Bien que le corps convertisse l’ALA en EPA et DHA, cette conversion est limitée Quels sont les bienfaits des oméga-3 pour la santé ? Soutien de la santé cardiovasculaire Les oméga-3, en particulier les acides gras EPA et DHA présents dans les poissons gras (saumon, maquereau, sardines), agissent directement sur la santé cardio vasculaire. Prévention de l’athérosclérose : Les oméga-3 réduisent l’inflammation et les niveaux de triglycérides dans le sang. Ils abaissent le taux de mauvais cholestérol (LDL. Amélioration de la circulation sanguine : Les oméga-3 favorisent la fluidité du sang. Amélioration de la mémoire et de la concentration Les oméga-3, particulièrement le DHA (acide docosahexaénoïque), sont essentiels pour le bon fonctionnement du cerveau. Ils jouent un rôle important dans la mémoire, la concentration, et la prévention du déclin cognitif. Impact sur la fonction cognitive : Le DHA est un composant majeur des membranes cellulaires du cerveau. Il aide à la transmission de l’influx nerveux, améliore la plasticité cérébrale, et soutient les fonctions cognitives comme la mémoire et la concentration. Soutien aux personnes âgées et prévention des maladies neurodégénératives : Chez les personnes âgées, les oméga-3 réduisent l’inflammation et le stress oxydatif dans le cerveau, des facteurs liés au vieillissement cognitif. Des recherches indiquent que des niveaux élevés de DHA et EPA peuvent diminuer le risque de maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer et d’autres formes de démence. Santé oculaire et vision Les oméga-3, notamment le DHA (acide docosahexaénoïque), jouent un rôle important dans la protection des yeux et la préservation de la vision. Les oméga-3, grâce à leurs propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes, protègent les yeux contre les dommages causés par les radicaux libres, réduisant ainsi les risques de sécheresse oculaire, de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), et de rétinopathie diabétique. Le DHA est un composant majeur des membranes des cellules rétiniennes. Il est particulièrement important pour la structure et la fonction de la rétine, qui est responsable de la conversion de la lumière en signaux électriques envoyés au cerveau. Un apport suffisant en DHA favorise une vision nette et une bonne santé rétinienne, et il peut même aider à prévenir des troubles visuels comme la dégénérescence maculaire. Effet anti-inflammatoire naturel Les oméga-3, en particulier l’EPA et le DHA, sont largement reconnus pour leurs puissantes propriétés anti-inflammatoires. Douleurs articulaires : Les oméga-3 sont efficaces pour réduire les douleurs et l’inflammation associées à des affections comme l’arthrose, l’arthrite, notamment l’arthrite rhumatoïde. Réduction de l’inflammation générale : Les oméga-3 aident à moduler l’inflammation systémique, ce qui réduit le risque de maladies inflammatoires chroniques, telles que les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 2, et les troubles auto-immuns. Bienfaits pour les sportifs Les oméga-3 sont bénéfiques pour les sportifs. La récupération musculaire Les oméga-3 jouent un rôle dans la réduction de l’inflammation musculaire après l’exercice, accélérant ainsi la récupération. En améliorant la circulation sanguine et en réduisant les dommages oxydatifs, ils favorisent la réparation des tissus musculaires, permettant aux sportifs de retrouver plus rapidement leur performance optimale. Réduction des douleurs musculaires Après un entraînement intense, les oméga-3 aident à diminuer les douleurs musculaires, notamment en réduisant l’inflammation associée aux micro-déchirures musculaires. Ils atténuent les douleurs des tendinites et autres inflammations musculosquelettiques, facilitant ainsi une meilleure récupération post-exercice Les précautions et contre-indications des Oméga 3 Effets secondaires possibles des Oméga 3 Bien que les oméga-3 offrent de nombreux bienfaits pour la santé, leur consommation peut entraîner certains effets secondaires, en particulier lorsqu’ils sont pris en excès. Sensibilité chez certaines personnes : Certaines personnes peuvent ressentir des effets indésirables comme des nausées, des ballonnements ou un goût de poisson désagréable dans la bouche, notamment lorsqu’elles prennent des suppléments d’oméga-3. Ces symptômes peuvent généralement être atténués en congelant les compléments. Risques de surdosage : Augmentation du risque de saignement, notamment chez les personnes prenant des anticoagulants, ou une altération de la fonction immunitaire.Ne pas dépasser 3 à 5 grammes par jour de complément d’oméga-3 Contre-indications et interactions médicamenteuses Les oméga-3 sont généralement sûrs, mais leur utilisation peut présenter des contre-indications et interagir avec certains médicaments, en particulier les anticoagulants et d’autres traitements spécifiques. Anticoagulants : Les oméga-3, en particulier l’EPA et le DHA, ont un effet anticoagulant naturel, ce qui peut augmenter le risque de saignement, surtout lorsqu’ils sont pris en même temps que des médicaments anticoagulants comme la warfarine, l’aspirine ou les inhibiteurs de la thrombine. Il faut cependant prendre des grandes quantités pour avoir ces effets Autres interactions possibles :Les oméga-3 peuvent également interagir avec des médicaments (hypotenseurs, statines). Comment savoir si vous manquez d’oméga-3 ? Signes de carence en Oméga 3 Une carence en oméga-3 peut affecter de nombreuses fonctions :… Poursuivre la lecture Pourquoi prendre des Oméga 3 ?
comment fonctionne une articulation saine ?

Comment fonctionne une articulation saine ? Guide complet sur la santé articulaire

Comment fonctionne une articulation saine ? Guide complet sur la santé articulaire Anatomie d’une articulation saine L’os sous-chondral L’os sous-chondral est la couche d’os située juste en dessous du cartilage articulaire. Rôle de l’os sous-chondral L’os sous-chondral agit comme un amortisseur, aidant à absorber les impacts et à répartir les charges sur toute l’articulation. Problèmes associés à l’os sous-chondral Avec l’âge ou à cause de l’arthrose, lorsque le cartilage s’amincit ou se détériore, il peut y avoir une pression accrue sur l’os sous-jacent, ce qui peut provoquer : Douleurs articulaires Inflammation Dégradation progressive des articulations. Dans le cas de l’arthrose, des modifications de l’os sous-chondral, telles que des microfractures ou une sclérose osseuse (durcissement de l’os), peuvent se produire, provoquant douleur et rigidité articulaire. Prévention et gestion Maintenir la santé de l’os sous-chondral passe par des mesures préventives et des traitements : Exercice régulier Alimentation équilibrée : (calcium,vitamine D) Traitements médicaux  Le cartilage articulaire Le cartilage articulaire est un tissu conjonctif lisse et élastique qui recouvre les extrémités des os au niveau des articulations. Fonction du Cartilage Articulaire La principale fonction du cartilage articulaire est de réduire la friction entre les os pendant le mouvement. Il permet une mobilité fluide en agissant comme un amortisseur, absorbant les chocs et les pressions exercées sur les articulations lors de l’exercice, de la marche ou de tout autre mouvement. Grâce à sa structure lisse, le cartilage articulaire permet aux surfaces osseuses de glisser les unes contre les autres sans frottement excessif. Propriétés du Cartilage Un cartilage articulaire en bonne santé possède plusieurs caractéristiques : Élasticité Rigidité et résistance Capacité de régénération limitée  Problèmes liés au Cartilage Articulaire Au fil du temps ou en raison de blessures, le cartilage articulaire peut se détériorer (arthrose). Lorsque le cartilage s’amincit ou se dégrade, il provoque des douleurs articulaires et une réduction de la mobilité. Maintenir la Santé du Cartilage Pour préserver la santé du cartilage articulaire, il est important de : Faire de l’exercice régulièrement Avoir une alimentation équilibrée Maintenir un poids corporel correct Le liquide synovial Le liquide synovial, ou synovie, est un fluide visqueux produit par la membrane synoviale qui remplit les cavités articulaires. Il facilite les mouvements, en protégeant les tissus articulaires. Rôles du Liquide Synovial Lubrification des Articulations Nutrition du Cartilage Articulaire Amortissement des Chocs Protection Immunitaire Élimination des Déchets Propriétés du Liquide Synovial Grâce à l’acide hyaluronique, le liquide synovial est visqueux, permettant la lubrification et l’amortissement des chocs. Riche en électrolytes (sodium, potassium, calcium), il maintient l’équilibre ionique nécessaire à la fonction cellulaire et à la stabilité de l’articulation. Il protège les articulations contre les traumatismes et aide à moduler la réponse inflammatoire en cas de blessure ou d’infection. Dysfonctionnements et Pathologies Lorsque la production ou la composition du liquide synovial est altérée, cela peut conduire à de l’arthrose,une synovite ou des infections articulaires (arthrite septique). La capsule et la membrane synoviale Les articulations synoviales sont entourées de deux structures essentielles : la capsule articulaire et la membrane synoviale. La capsule articulaire La capsule articulaire est une enveloppe fibreuse qui entoure l’articulation et qui est attachée aux os qui forment l’articulation. Elle contribue à stabiliser l’articulation en empêchant les mouvements excessifs. Elle est particulièrement importante dans les articulations où les ligaments seuls ne suffisent pas à maintenir la stabilité. La membrane synoviale La membrane synoviale tapisse la face interne de la capsule articulaire. Elle est responsable de la production du liquide synovial. Fonctions de la capsule et de la membrane synoviale Stabilité articulaire Lubrification et nutrition Protection contre les infections  Pathologies liées à la capsule et à la membrane synoviale Des dysfonctionnements de ces structures peuvent entraîner des maladies articulaires : synovite, capsulite ou arthrite. Le fonctionnement d’une articulation : comment les éléments travaillent ensemble La coordination des mouvements Une articulation est une structure qui relie deux ou plusieurs os du squelette, permettant ainsi les mouvements et la flexibilité. Le fonctionnement harmonieux d’une articulation repose sur la coordination entre les os, le cartilage, les muscles, et les ligaments. Action conjointe des os, du cartilage et des muscles Les os : ils forment la structure de base de l’articulation. Le cartilage : il recouvre les extrémités des os Les muscles : ils sont responsables du mouvement. Le rôle des ligaments : ils stabilisent l’articulation. Coordination des mouvements Le bon fonctionnement d’une articulation dépend de l’interaction parfaitement synchronisée de ces éléments. Le cartilage minimise la friction, les ligaments stabilisent l’articulation, et les muscles génèrent le mouvement. Cette coordination complexe permet des actions fluides, précises et sûres. Le système nerveux coordonne les contractions musculaires et ajuste les mouvements en temps réel pour maintenir l’équilibre et la posture. Importance de la lubrification par le liquide synovial Sécrété par la membrane synoviale, ce fluide visqueux remplit l’espace articulaire. Le liquide synovial réduit les frictions entre les surfaces articulaires, permettant des mouvements fluides et protégeant le cartilage de l’usure. Il maintient l’élasticité des articulations en hydratant et nourrissant le cartilage, assurant sa souplesse et sa capacité d’absorption des chocs. De plus, il agit comme un amortisseur, répartissant les forces mécaniques et protégeant les articulations des impacts. Les conditions pour une articulation en bonne santé Une alimentation adaptée pour le soutien articulaire L’exercice régulier et une alimentation santé jouent un rôle fondamental dans la préservation et la protection des articulations. Les compléments alimentaires NFB pour une meilleure articulation Une bonne nutrition fournit les éléments nécessaires pour renforcer les os, préserver le cartilage et réduire l’inflammation dans les articulations. Certains nutriments sont indispensables : Oméga-3 Glucosamine Chondroitine Vitamine D  L’importance de l’activité physique L’activité physique est essentielle pour maintenir des articulations en bonne santé, car elle stimule la production de liquide synovial. Ce liquide, souvent comparé à un « lubrifiant naturel », permet de réduire les frottements entre les cartilages et améliore la flexibilité et la résilience des articulations. Les mouvements réguliers, même de faible intensité, activent la production de ce liquide protecteur, contribuant à réduire les risques de raideur et de douleur articulaire. Pour préserver vos… Poursuivre la lecture Comment fonctionne une articulation saine ? Guide complet sur la santé articulaire
Comment utiliser le curcuma ?

Comment utiliser le Curcuma ?

Comment utiliser le Curcuma ? Les différentes manières d’utiliser le curcuma Le curcuma peut être utilisé de différentes manières pour profiter de ses bienfaits anti-inflammatoires et anti oxydant. Cependant il faut être conscient que ceux sont les principes actifs du curcuma, les curcuminoides qui donnent le pouvoir anti inflammatoire et anti oxydant au curcuma. Il faut donc en consommer beaucoup pour obtenir cet effet ou très régulièrement. Le curcuma contient environ 3 à 8 % de curcumine (selon la saison de croissance). Une cuillère à soupe de poudre de curcuma (en moyenne 3 g) contient en moyenne 30 à 90 mg de curcumine, or pour avoir une action anti oxydante il faut au minimum 250mg de curcumine par prise et pour un effet anti inflammatoire il faut 1500 mg minimum.  En cuisine : sublimez vos plats avec le curcuma Le curcuma est une épice très polyvalente en cuisine. Il s’intègre facilement dans des plats salés comme sucrés. Il est souvent utilisé dans des mélanges comme le garam masala ou les curry powders. Sous forme de poudre, il peut être utilisé dans les currys, soupes, ragoûts, smoothies, ou même dans des vinaigrettes. Le curcuma frais peut être râpé directement dans les plats, comme le gingembre. On peut l’intégrer dans des boissons comme le lait doré (Golden Milk), thé ou des jus de fruits. On peut l’utiliser dans les marinades, pour poissons viande des légumes. On peut également utiliser dans des desserts tels que les biscuits, les cakes ou les smoothies pour ajouter de la couleur et une saveur subtilement épicée. Comment utiliser le curcuma en complément alimentaire NFB Le curcuma est présent dans plusieurs compléments alimentaires de NFB. Form’CurcumaForm’Curcuma est un mélange de 300mg de curcumine associée à du gingérol et de la pipéridine pour une meilleure biodisponibilité et efficacité. On l’associera volontiers à un probiotique comme Nutri’Prob pour augmenter ses vertus sur l’intestin et l’estomac. Il accompagne bien sur Nutri’Oméga 3 pour toutes les douleurs ou raideur articulaire arthrose ou arthrite. Dans ce dernier cas on pourra aussi utiliser Form’Chondro protect à raison de 2 gélules par jour. Il y a également du curcuma dans cette formule associée à d’autres plantes qui sont destinées à protéger le cartilage des articulations En cas de fortes douleurs articulaires, type crise d’arthrose, on pourra prendre simultanément du Nutri’Oméga 3 DHA (4 gélules le soir) et Form’Curcuma 2 gélules matin midi et soir. Cette association est fortement anti inflammatoire et permet très souvent de remplacer un anti inflammatoire classique sans les effets secondaires. Form’Chondro protectForm’Chondro Protect est un complément alimentaire destiné au bien-être des articulations. Il comprend de la membrane d’oeuf (Ovoderm produit breveté) riche en chondroïtine sulfate et en glucosamine qui a été associée à de la vitamine D, du curcuma et de la bosswelia. L’association d’ingrédients tels que le curcuma et la bosswelia permet de réduire l’activité des cytokines pro inflammatoires, au même titre que la vitamine D. La vitamine D a également une action régénératrice sur le cartilage et l’os. L’association de ces différents ingrédients permet d’obtenir un effet antalgique et anti-inflammatoire. En infusion : détente et bien-être La consommation de curcuma sous forme de thé, de tisane, ou en infusion présente plusieurs avantages. La tisane permet au curcuma d’être mieux absorbé, surtout lorsqu’elle est mélangée avec du poivre noir, qui augmente l’absorption de la curcumine. Elle contribue également avoir un effet anti-inflammatoire. Elle améliora également la digestion peut réduire les douleurs d’estomac et favoriser le transit intestinal. La prise régulière en tisane curcuma permet également un apport régulier en antioxydants, qui va également contribuer à renforcer le système immunitaire. On peut modifier le parfum de la tisane curcuma en ajoutant d’autres ingrédients comme le gingembre, citron, du miel. Le curcuma est riche en antioxydants, qui aident à neutraliser les radicaux libres et à protéger les cellules du stress oxydatif. En usage externe : applications locales de pommades et cataplasmes Les applications locales de pommades et cataplasmes à base de curcuma sont des méthodes naturelles pour soulager divers maux grâce aux propriétés anti-inflammatoires, antiseptiques et antioxydantes de cette épice. Une pommade peut être utilisée pour soulager les douleurs articulaires, les inflammations cutanées, ou les irritations. Appliquer la pommade directement sur les zones douloureuses ou enflammées deux fois par jour. La pommade peut être utilisée pour soulager l’arthrite, les douleurs musculaires, ou même les petites coupures et irritations cutanées grâce à ses propriétés cicatrisantes et antiseptiques. Les bienfaits du curcuma sur la santé Propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes Le curcuma, et plus particulièrement son composant actif principal, la curcumine, est bien connu pour ses propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. Ces effets sont soutenus par de nombreuses études scientifiques. La curcumine agit comme un puissant anti-inflammatoire en inhibant plusieurs molécules impliquées dans la réponse inflammatoire. Elle cible principalement les voies biochimiques qui activent les protéines et enzymes pro-inflammatoires dans le corps.  La curcumine inhibe l’activation du NF-κB, qui est un facteur de transcription dans les phénomènes inflammatoires chroniques. Elle permet ainsi de réduire l’inflammation. La curcumine diminue la production de cytokines comme le TNF-α (tumor necrosis factor-alpha), l’interleukine-1 (IL-1), et l’interleukine-6 (IL-6), qui sont responsables de la promotion de l’inflammation. La curcumine est également un antioxydant puissant, ce qui signifie qu’elle aide à neutraliser les radicaux libres, des molécules instables qui peuvent causer des dommages cellulaires et jouer un rôle dans le vieillissement et diverses maladies. Les effets antioxydants de la curcumine sont dus à sa capacité à neutraliser directement les radicaux libres en les captant,stimuler les enzymes antioxydantes endogènes dans le corps, telles que la superoxyde dismutase (SOD), la catalase, et la glutathion peroxydase. Ces propriétés antioxydantes sont particulièrement utiles dans la prévention du vieillissement prématuré, la réduction du stress oxydatif et la prévention de maladies dégénératives comme le cancer et les maladies neurodégénératives. Les doses efficaces de curcumine peuvent varier en fonction de l’indication et de la formulation utilisée (la curcumine étant mal absorbée seule). Cependant, des études ont montré que des doses comprises entre 500 mg et 2000 mg de curcumine… Poursuivre la lecture Comment utiliser le Curcuma ?
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