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NFB Healthcare propose une gamme complète de compléments alimentaires conçus pour répondre à une variété de besoins spécifiques en matière de santé et de bien-être. Divisée en trois catégories principales—Nutrition, Forme, et Beauté—notre offre comprend des produits ciblés tels que des solutions pour l’immunité, la détox, la digestion,

la santé spécifique des hommes et des femmes, le sommeil, ou encore le stress, ainsi que la mémoire. Nous proposons également des produits dédiés à la beauté, notamment pour la silhouette, le poids, et le soin de la peau, des cheveux et des ongles.

Améliorez la santé de vos patients avec une solution naturelle et efficace

Chaque complément de notre gamme est formulé avec des ingrédients de haute qualité, soigneusement identifiés et sélectionnés, pour garantir une efficacité maximale. Que ce soit pour renforcer l’immunité, améliorer la digestion, augmenter l’énergie, ou soutenir la santé mentale et physique, nos compléments alimentaires sont conçus pour offrir des résultats !

Les produits de la gamme Beauté sont, quant à eux, spécialement développés pour améliorer l’apparence et la santé de la peau, des cheveux et des ongles, afin d’aider vos patients à retrouver leur bien-être intérieur et extérieur.

Compléments alimentaires
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Votre partenaire pour une meilleure santé des patients

En tant que professionnel de la santé, choisir NFB Healthcare comme partenaire vous permet d’accéder à une large gamme de produits spécialisés. Nous couvrons un spectre étendu de besoins, vous permettant de personnaliser les recommandations selon les une approche personnalisée pour vos patients. Notre engagement envers la qualité et l’efficacité vous assure que vous proposez des produits fiables qui complètent vos traitements et conseils.

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NFB Healthcare reconnaît l’importance des professionnels de la santé dans la distribution de nos produits. C’est pourquoi nous offrons une remise professionnelle de 30% sur tous nos compléments alimentaires via notre offre professionnelle. Cette offre est destinée à faciliter l’achat de nos produits par les professionnels, mais aussi à augmenter votre marge commerciale tout en fournissant des solutions de santé de haute qualité à vos patients.

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Comment soigner une inflammation naturellement ?

Comment soigner une inflammation naturellement ?

Comment soigner une inflammation naturellement ? Comprendre l’inflammation : les bases essentielles   Inflammation : qu’est-ce que c’est réellement ?   L’inflammation est une réponse du système immunitaire à une agression, comme une infection, une blessure ou une irritation. Elle peut être aiguë ou chronique : Aiguë : C’est une réaction immédiate et temporaire à un agent extérieur, comme une infection ou une blessure. Elle est marquée par des symptômes tels que rougeur, douleur, chaleur et gonflement. Elle est censée guérir après quelques jours sans séquelles ni locales, ni générales. Chronique : Elle dure dans le temps et peut être sous-jacente à de nombreuses pathologies telles que les maladies auto-immunes, les troubles inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) ou les maladies cardiovasculaires. Elle est causée par une activation prolongée du système immunitaire sans résolution adéquate liée à la mauvaise guérison d’une inflammation aiguë généralement.   Les principales causes de l’inflammation chronique dans le corps   L’inflammation peut être déclenchée par plusieurs facteurs : Environnement : les facteurs environnementaux, notamment la pollution de l’air et de l’eau, ont un impact direct sur l’inflammation systémique.  Alimentation : une alimentation déséquilibrée, riche en sucres raffinés, graisses trans et aliments ultra-transformés, est l’un des principaux moteurs de l’inflammation chronique.   Stress : le stress chronique induit une surproduction de cortisol. À long terme, des niveaux élevés de cortisol perturbent la régulation de l’inflammation en altérant les réponses immunitaires.  Infections : les infections bactériennes, virales ou parasitaires déclenchent des réponses inflammatoires spécifiques à chaque type d’agent pathogène.   Adopter une alimentation anti-inflammatoire   Quels aliments éviter pour réduire l’inflammation ?   Pour réduire l’inflammation, certains aliments doivent être évités, car ils favorisent régulièrement des réponses inflammatoires.  Sucres raffinés et glucides simplesLes sucres raffinés et glucides simples (pain blanc, pâtisseries, sodas) sont des facteurs majeurs dans l’activation de l’inflammation. La consommation excessive de ces produits entraîne une élévation rapide du taux de glycémie, ce qui stimule la production d’insuline et de protéines de glycation avancée (AGEs). Graisses trans et acides gras saturésLes graisses trans, présentes dans les aliments frits, les pâtisseries industrielles, les margarines et autres produits transformés, augmentent l’inflammation. Les acides gras saturés, souvent présents dans la viande rouge, les charcuteries et certains produits laitiers, augmentent également l’inflammation en favorisant la libération de cytokines comme IL-6 et en modifiant les structures cellulaires des membranes. Aliments ultra-transformésLes aliments ultra-transformés (fast-food, snacks, plats préparés) contiennent des niveaux élevés de sodium, sucre et additifs alimentaires, tels que des conservateurs, des colorants, des exhausteurs de goût, et des agents de texture. Ces produits sont non seulement faibles en nutriments essentiels mais contiennent également des agents pro-inflammatoires qui perturbent l’équilibre du microbiote intestinal et favorisent des réponses inflammatoires. AlcoolL’alcool favorise l’inflammation par divers mécanismes. Il augmente la perméabilité intestinale. Il stimule la production de cytokines pro-inflammatoires et perturbe la fonction hépatique, provoquant une stéatose hépatique non alcoolique et les maladies cardiovasculaires. Viandes transforméesLes viandes transformées (saucisses, bacon, charcuteries) contiennent des nitrites et nitrates, des agents de conservation qui, lorsqu’ils sont ingérés, se transforment en nitrosamines, fortement pro-inflammatoires. Ces substances endommagent les cellules intestinales et favorisent l’inflammation intestinale. Les viandes transformées sont également riches en graisses saturées et en sel, deux autres facteurs qui exacerbent l’inflammation. Produits laitiers (en cas d’intolérance)Les produits laitiers, en particulier le lait de vache, est une source importante de protéines inflammatoires pour les individus intolérants au lactose ou sensibles à la caséine (protéine du lait). La fermentation du lactose non digéré dans l’intestin produit des acides gras à chaîne courte et des gaz, provoquant une irritation intestinale et augmentant l’inflammation. Epices irritantes et aliments acidesLes épices fortes (piment, poivre, curry) peuvent irriter la muqueuse intestinale, en particulier chez les personnes sensibles ou souffrant de MICI.    Les aliments anti-inflammatoires à privilégier   Les Fruits et légumes riches en antioxydants : Parmi les fruits anti-inflammatoires les plus efficaces, on trouve les fruits rouges (fraises, myrtilles, framboises), riches en flavonoïdes comme la quercétine et l’anthocyanine. Les légumes verts feuillus, comme les épinards, le brocoli, et le chou kale, contiennent de grandes quantités de vitamine C et de caroténoïdes. Les oméga 3 d’origine végétale et marineLes oméga 3, présents dans les poissons gras (saumon, maquereau, sardines), les graines de chia, les graines de lin et les noix, agissent en réduisant la production de molécules pro-inflammatoires, (prostaglandines et leucotriènes). Des études ont montré que les oméga 3 modulent également l’activité des cytokines inflammatoires (TNF-α, IL-6). Les épices et plantes médicinalesLe curcuma et le gingembre, sont très anti-inflammatoires. Le curcuma contient de la curcumine, un composé polyphénolique qui bloque la production de cytokines inflammatoires et inhibe les voies de signalisation des molécules pro-inflammatoires, comme le NF-kB. Le gingembre, quant à lui, contient des gingérols, qui réduisent l’inflammation en inhibant des enzymes comme la COX-2, impliquée dans l’inflammation. D’autres plantes, comme le basilic sacré (ou tulsi), sont également reconnues pour leurs effets anti-inflammatoires. Les noix et grainesLes noix (amandes, noix de Grenoble) et les graines (graines de lin, graines de chia, graines de courge) sont riches en acides gras insaturés, notamment des oméga 3 et des antioxydants. Par exemple, les noix de Grenoble contiennent des quantités importantes d’acides gras alpha-linoléniques (ALA), de la vitamine E, et des polyphénols. Les graines de lin sont également une source puissante de lignanes, qui ont des effets modulant l’inflammation et le stress oxydatif. Les légumineusesLes légumineuses, comme les haricots, les lentilles et les pois chiches, sont riches en fibres solubles et en protéines végétales. Les fibres solubles favorisent la production de butyrate. Les légumineuses, riches en magnésium, contribuent également à réguler les réponses inflammatoires en diminuant la libération de cytokines pro-inflammatoires. Les huiles végétales riches en oméga 3Les huiles végétales, telles que l’huile de lin, de cameline, l’huile de chanvre et l’huile d’olive extra vierge, sont de bonnes sources d’acides gras oméga 3 et de polyphénols anti-inflammatoires. L’huile d’olive, en particulier, contient des oléocanthal, un composé qui a des effets similaires à ceux des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) en inhibant la COX-1 et la COX-2, enzymes impliquées dans l’inflammation. Les aliments fermentésLes aliments fermentés, tels que le… Poursuivre la lecture Comment soigner une inflammation naturellement ?
où trouver des omega 3 ?

Où trouver des oméga 3 ?

Où trouver des oméga 3 ? Qu’est-ce que les oméga-3 et pourquoi sont-ils essentiels ?   Les oméga-3 sont des acides gras polyinsaturés essentiels pour le bon fonctionnement de l’organisme. Contrairement aux graisses saturées ou trans, les oméga-3 jouent un rôle fondamental dans la santé cardiovasculaire, la fonction cérébrale, et la régulation de l’inflammation. Ces acides gras ne peuvent pas être synthétisés par le corps, ce qui signifie qu’il est nécessaire de les obtenir par l’alimentation ou la supplémentation.   Définition et rôle des oméga-3 dans l’organisme   Les oméga-3 sont des graisses essentielles, c’est-à-dire qu’elles sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Ils sont impliqués dans de nombreuses fonctions biologiques, notamment la régulation des processus inflammatoires, la formation des membranes cellulaires et la communication entre les cellules nerveuses. De plus, les oméga-3 sont également impliqués dans la production d’hormones qui contrôlent l’inflammation, la coagulation sanguine et d’autres fonctions corporelles.   Les différents types d’oméga-3 : ALA, EPA et DHA   Les trois principaux types d’oméga-3 sont : Acide alpha-linolénique (ALA) : Trouvé principalement dans les sources végétales comme les graines de lin et les noix, l’ALA est un acide gras essentiel que le corps convertit en EPA et DHA, bien que cette conversion soit inefficace. Acide eicosapentaénoïque (EPA) : Trouvé principalement dans les poissons gras et certains types d’algues, l’EPA est particulièrement bénéfique pour la santé cardiovasculaire et la gestion des inflammations. Acide docosahexaénoïque (DHA) : Également trouvé dans les poissons gras et les algues, le DHA est un composant majeur des membranes cellulaires, notamment dans le cerveau et les yeux, ce qui en fait un nutriment clé pour la santé cognitive et visuelle.   Quels sont les besoins quotidiens en oméga-3 ?   Les besoins en oméga-3 varient en fonction de l’âge, du sexe et de l’état de santé. En général, il est recommandé de consommer au moins 250 à 500 mg par jour d’EPA et DHA combinés pour maintenir une bonne santé cardiovasculaire. Les personnes présentant des problèmes de santé spécifiques, comme les troubles inflammatoires ou les maladies cardiovasculaires, peuvent bénéficier de doses plus élevées, parfois allant jusqu’à 1000 mg ou plus par jour. Les apports en ALA sont généralement couverts par une alimentation variée, mais il peut être nécessaire de privilégier les sources d’EPA et DHA dans certains cas.   Les principales sources alimentaires d’oméga-3   Les sources animales riches en oméga-3   Les oméga-3 se trouvent dans de nombreuses sources alimentaires, tant animales que végétales. Il est essentiel d’inclure une variété de ces sources pour bénéficier de tous les types d’oméga-3, notamment l’EPA et le DHA, qui sont les plus biodisponibles.   Les poissons gras : saumon, maquereau, sardine, hareng…   Les poissons gras sont parmi les meilleures sources d’EPA et de DHA. Le saumon, le maquereau, la sardine et le hareng sont particulièrement riches en oméga-3. Il est recommandé de consommer ces poissons au moins deux fois par semaine pour couvrir les besoins en oméga-3.   Les fruits de mer et crustacés   Les crevettes, les huîtres et les moules sont également de bonnes sources d’oméga-3, bien qu’elles contiennent généralement moins d’EPA et de DHA que les poissons gras.   Les œufs enrichis en oméga-3   Les œufs enrichis en oméga-3 Certains œufs proviennent de poules nourries avec une alimentation riche en oméga-3, ce qui en fait une excellente option pour les personnes qui ne consomment pas régulièrement de poissons.   Les sources végétales riches en oméga-3   Les huiles végétales : lin, colza, chanvre   Les huiles végétales : lin, colza, chanvre L’huile de lin, de colza et de chanvre sont des sources importantes d’ALA, un type d’oméga-3 provenant des plantes. L’huile de lin est particulièrement riche en ALA et peut être utilisée dans des vinaigrettes ou ajoutée à des smoothies.   Les graines : chia, lin, courge   Les graines : chia, lin, courge Les graines de chia, de lin et de courge sont non seulement riches en ALA, mais elles offrent également une bonne dose de fibres et de protéines végétales, faisant d’elles un excellent choix pour compléter l’alimentation.   Les noix et amandes   Les noix et amandes Les noix, en particulier les noix de Grenoble, sont une excellente source d’ALA et offrent aussi des avantages pour la santé cardiaque grâce à leur teneur en antioxydants.   Les légumes à feuilles vertes : épinards, mâche   Les légumes à feuilles vertes : épinards, mâche Les légumes à feuilles vertes comme les épinards et la mâche contiennent de petites quantités d’oméga-3, principalement sous forme d’ALA. Ils contribuent à l’alimentation, bien qu’ils ne soient pas des sources aussi concentrées que les graines ou les huiles.   Quels aliments privilégier selon vos besoins nutritionnels ?   Pour obtenir un apport équilibré en oméga-3, il est recommandé de consommer régulièrement des poissons gras pour couvrir les besoins en EPA et DHA. Si vous êtes végétarien ou végane, il est conseillé de privilégier les sources végétales d’ALA et de considérer la supplémentation en DHA et EPA à partir d’algues. Il est également important de maintenir un équilibre entre oméga-3 et oméga-6, car un excès d’oméga-6 dans l’alimentation peut nuire à l’efficacité des oméga-3.   Les oméga-3 sous forme de compléments alimentaires   Les compléments en oméga-3 peuvent être un moyen pratique d’atteindre les apports recommandés, surtout si l’alimentation ne fournit pas suffisamment d’oméga-3. Cependant, il est essentiel de bien choisir son complément pour en maximiser les bienfaits.   Quand opter pour un complément en oméga-3 ?   Les compléments en oméga-3 sont particulièrement utiles pour les personnes qui ne consomment pas régulièrement de poissons gras, les végétariens, les personnes âgées ou celles ayant des besoins accrus en oméga-3 pour des raisons médicales (comme les troubles cardiovasculaires, inflammatoires ou neurologiques).   Comment choisir le bon supplément ?   Différences entre huiles de poisson, krill et algues   Différences entre huiles de poisson, krill et algues Les huiles de poisson sont les plus couramment utilisées, fournissant à la fois de l’EPA et du DHA. L’huile de… Poursuivre la lecture Où trouver des oméga 3 ?
combien de temps dure une inflammation du genou ?

Combien de temps dure une inflammation du genou ?

Combien de temps dure une inflammation du genou ? Quelles sont les causes d’une inflammation du genou ? Blessures aiguës et traumatismes  Entorse du genou L’entorse du genou survient lorsqu’un ou plusieurs ligaments du genou sont étirés ou déchirés à la suite d’un mouvement brusque ou d’un impact direct. Les ligaments les plus fréquemment touchés sont le ligament croisé antérieur (LCA) et le ligament collatéral médial (LCM). Elle se manifeste par une douleur immédiate, gonflement, difficulté à bouger le genou, instabilité.Les entorses peuvent être causées par des changements brusques de direction, un mauvais atterrissage après un saut ou un impact direct au niveau du genou. Foulure musculaire Une foulure du genou survient lorsqu’un muscle ou un tendon autour du genou (comme le quadriceps ou les ischio-jambiers) est étiré ou déchiré. Cela se produit généralement lorsque le muscle est soumis à une tension excessive. On retrouve des douleurs au niveau du muscle, difficulté à plier ou à tendre le genou, parfois un léger gonflement. Les causes sont une surutilisation, des mouvements rapides ou mal exécutés, et un manque d’échauffement avant l’exercice physique. Déchirure du ligament croisé antérieur (LCA) La déchirure du LCA est l’une des blessures les plus graves du genou. Le LCA est essentiel pour la stabilité du genou, et sa déchirure peut entraîner une instabilité sévère. Son présent une douleur aiguë, un gonflement rapide, une sensation de « craquement » au moment de la blessure, une incapacité de continuer l’activité, des difficultés à poser le pied au sol.Mouvements brusques, tels que des changements rapides de direction, des pivots ou des arrêts nets, souvent observés dans les sports comme le football ou le basketball en sont souvent la cause. Luxation du genou La luxation du genou est une blessure rare mais grave, où les os du genou sont déplacés de leur position normale. Cela peut causer des lésions aux ligaments, aux vaisseaux sanguins et aux nerfs. On note une déformation évidente du genou, une douleur extrême, une incapacité de bouger le genou, parfois une perte de sensation dans le bas de la jambe ou le pied. Un traumatisme majeur, comme un accident de voiture ou une chute importante, est généralement nécessaire pour provoquer une luxation du genou. Fracture de la rotule La fracture de la rotule est une fracture de l’os situé à l’avant du genou, souvent due à un choc direct. Douleur intense, incapacité de bouger le genou, gonflement, ecchymoses autour du genou, déformation possible de la rotule sont les signes principaux confirmés par la radiologie. Accident de voiture, chute directe sur le genou, ou traumatisme sportif violent en sont souvent la cause. Surutilisation et inflammations chroniques  Une sollicitation excessive ou répétée du genou peut également causer des inflammations chroniques : Syndrome de la bandelette ilio-tibiale (syndrome de l’essuie-glace) Il s’agit d’une blessure fréquente chez les coureurs, où la bandelette ilio-tibiale (un tendon qui s’étend du côté du bassin jusqu’au tibia) frotte contre l’extérieur du genou, entraînant une inflammation. On constate une douleur aiguë ou une sensation de brûlure sur le côté externe du genou, qui survient généralement après un certain temps de course. Surutilisation, mauvaise technique de course, ou course sur des surfaces inclinées en sont la cause. Tendinite du genou (tendinite patellaire) La tendinite patellaire, aussi appelée « genou du sauteur », se caractérise par une inflammation du tendon qui relie la rotule au tibia. Il y a des douleurs localisées juste en dessous de la rotule, douleurs qui s’aggravent lors d’activités comme sauter, courir ou s’accroupir. Surutilisation, mouvements répétitifs, ou changements brusques d’intensité dans des activités sportives comme le basket, le volleyball ou la course en sont responsables. Bursite du genou La bursite est une inflammation des bourses (petites poches remplies de liquide) qui réduisent la friction entre les os et les tendons ou muscles autour du genou. On constate gonflement, une douleur localisée, une chaleur et une sensibilité à la pression autour de la bourse touchée.Un traumatisme direct, une surutilisation ou une infection peuvent en être responsable. Arthrose et autres pathologies inflammatoires Certaines pathologies chroniques entraînent une inflammation persistante du genou : Arthrose et usure articulaire : l’arthrose est une maladie dégénérative des articulations, où le cartilage qui protège les surfaces articulaires du genou s’use, provoquant douleur, raideur et inflammation. Cette usure peut également entraîner des douleurs liées à l’inflammation des tissus environnants. Polyarthrite rhumatoïde : la polyarthrite rhumatoïde est une maladie auto-immune où le système immunitaire attaque les articulations, y compris celles du genou. Cette affection peut entraîner une inflammation sévère, des douleurs et des déformations articulaires à long terme Combien de temps dure une inflammation du genou ? Durée moyenne de guérison Inflammation aiguë suite à une blessure En cas de blessure aiguë (comme une entorse ou une foulure), l’inflammation dure généralement de quelques jours à deux semaines. La gravité de la blessure, l’âge et la condition physique du patient, ainsi que le traitement, influencent cette durée. La guérison peut être accélérée par des soins appropriés, mais l’âge (les personnes âgées guérissent souvent plus lentement), la condition physique générale, et la réactivité au traitement peuvent allonger ou raccourcir la durée de l’inflammation. Inflammation chronique et pathologies sous-jacentes  Si l’inflammation est liée à des pathologies chroniques, comme l’arthrose ou la polyarthrite rhumatoïde, l’inflammation peut persister pendant des mois, voire des années, en fonction de la gestion de la maladie. Bien que les symptômes puissent être gérés efficacement, l’inflammation peut revenir à chaque poussée de la maladie sous-jacente. Des traitements à long terme sont souvent nécessaires pour minimiser les épisodes inflammatoires. Lorsqu’il s’agit d’une inflammation de bas grade qui rappelons-le, est lié à une non guérison d’une inflammation aiguë avec persistance d’éléments locaux entretenant l’inflammation, l’extension de celle-ci au niveau systémique et les symptômes peuvent durer plusieurs années s’ils ne sont pas traités. L’alimentation joue pleinement son rôle à ce niveau. Si l’inflammation n’a pas pu guérir, c’est bien souvent lié à des carences au niveau des défenses. (Oméga 3, polyphénols, vitamine D, zinc,…) Signes que l’inflammation persiste plus longtemps que prévu Si l’inflammation du genou ne diminue… Poursuivre la lecture Combien de temps dure une inflammation du genou ?