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Qu'est ce qui provoque une inflammation de l'instestin ?

Qu'est ce qui provoque une inflammation de l'instestin ?

Qu’est-ce qui provoque une inflammation de l’intestin ? Les origines de l’inflammation intestinale Pourquoi l’intestin est-il si vulnérable ?   L’intestin abrite 70 % des cellules immunitaires du corps et est en contact direct avec des milliards de bactéries et antigènes alimentaires. Cette exposition constante rend la muqueuse intestinale particulièrement sensible aux déséquilibres, pouvant déclencher des réponses inflammatoires exagérées.   Un aperçu des maladies inflammatoires de l’intestin (MICI)   Les MICI regroupent la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique (RCH), deux affections chroniques caractérisées par une inflammation persistante de la paroi intestinale. Ces maladies sont souvent associées à des anomalies génétiques, des déséquilibres microbiotiques et des perturbations immunitaires.   Les principales causes d’une inflammation intestinale   Facteurs génétiques et prédispositions héréditaires   Certaines mutations génétiques, notamment celles affectant les gènes NOD2 ou IL23R, augmentent le risque de développer des MICI. Ces mutations perturbent la réponse immunitaire, favorisant une inflammation chronique.   Rôle du microbiote intestinal dans les inflammations   Un déséquilibre entre bactéries bénéfiques (Lactobacillus, Bifidobacterium) et pathogènes (Clostridium, Enterobacteriaceae) altère la tolérance immunitaire, favorisant une production excessive de cytokines pro-inflammatoires.   Impact des facteurs environnementaux (alimentation, stress, etc.)   Alimentation : Les régimes riches en graisses saturées, sucres raffinés, et additifs (émulsifiants) perturbent la barrière intestinale. Stress chronique : Le cortisol libéré en excès perturbe le microbiote et accentue la perméabilité intestinale, facilitant l’inflammation.   Infections bactériennes, virales ou parasitaires   Certaines infections (Salmonella, Helicobacter pylori, rotavirus) induisent une réponse immunitaire qui peut devenir excessive ou mal régulée, entraînant une inflammation persistante.   Les symptômes associés à une inflammation de l’intestin   Manifestations générales : douleurs, diarrhées, et fatigue   Douleurs abdominales : Souvent localisées dans la région iliaque ou diffuse, elles s’accompagnent de crampes. Diarrhées chroniques : Parfois sanglantes ou mucoïdes. Fatigue chronique : Résultant de l’inflammation systémique et de la malabsorption des nutriments.   Signes spécifiques selon les types d’inflammation : Crohn, colite, etc.   Maladie de Crohn   Douleurs abdominales : Intenses, souvent localisées dans la région iléo-cæcale (côté droit de l’abdomen). Diarrhées chroniques : Souvent non sanglantes, mais parfois grasses (stéatorrhée) en cas de malabsorption. Symptômes systémiques : Fièvre, fatigue marquée, et perte de poids.   Rectocolite hémorragique (RCH)   Diarrhées sanglantes : Présence de sang et de mucus dans les selles, parfois associée à une fréquence accrue. Douleurs abdominales : Crampes souvent situées au bas de l’abdomen, particulièrement avant la défécation. Symptômes systémiques : Moins fréquents que dans la maladie de Crohn, mais possibles en cas de poussées sévères.   Colite infectieuse   Diarrhées aiguës : Généralement aqueuses, mais parfois sanglantes (dysenterie) selon l’agent pathogène (E. coli, Salmonella). Fièvre et nausées : Fréquentes, souvent accompagnées de douleurs abdominales diffuses. Déshydratation : Due à la perte importante de liquides, nécessitant une prise en charge rapide.   Colite ischémique Douleurs abdominales soudaines : Principalement dans la région gauche, souvent liées à une obstruction vasculaire. Selles sanglantes : Apparition rapide après les douleurs.   Les mécanismes biologiques derrière l’inflammation   Réponse immunitaire exagérée et rôle des cytokines   Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) sont caractérisées par une activation anormale et persistante du système immunitaire. Cette réponse inappropriée entraîne une inflammation chronique, largement médiée par des cytokines pro-inflammatoires. Dans les MICI, la barrière intestinale devient perméable, exposant les cellules immunitaires de la muqueuse aux antigènes microbiens et alimentaires.   Barrière intestinale compromise : comment cela aggrave l’inflammation ?   La quand la barrière intestinale ne joue plus son rôle, elle favorise l’apparition et la persistance de l’inflammation intestinale. Lorsque la barrière intestinale est compromise, l’hyperperméabilité, encore appelé syndrome de l’intestin poreux, s’installe. Cela entraîne : Translocation des antigènes Activation immunitaire excessive Dommages tissulaires    Dans les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI), la barrière compromise amplifie les réponses inflammatoires, créant un cercle vicieux d’inflammation et de dommages. L’altération de la barrière est également impliquée dans d’autres pathologies systémiques comme le diabète de type 2 et les maladies auto-immunes.   Comment diagnostiquer une inflammation de l’intestin ?   Les examens de laboratoire : analyses de sang et de selles   Les analyses biologiques sont essentielles pour détecter les marqueurs d’inflammation et les anomalies associées.   Les techniques d’imagerie médicale   L’imagerie permet d’évaluer les structures intestinales et de repérer les zones affectées par l’inflammation.   Tests spécifiques pour identifier les causes sous-jacentes   Lorsque l’inflammation est confirmée, des tests complémentaires permettent de préciser son origine.   Les traitements pour réduire l’inflammation intestinale   Le traitement de l’inflammation intestinale varie en fonction de la gravité des symptômes, des causes sous-jacentes et du type d’affection (comme les MICI).    Traitements médicamenteux : anti-inflammatoires, immunosuppresseurs, etc.   5-ASA (acide 5-aminosalicylique) : Traitement de première ligne pour les inflammations légères à modérées, notamment dans la rectocolite hémorragique. Corticostéroïdes : Utilisés pour réduire rapidement les inflammations aiguës dans les MICI. Immunosuppresseurs : Réduction de l’activité excessive du système immunitaire dans les inflammations chroniques. Biothérapies : Efficace pour les formes sévères de la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique.   Interventions chirurgicales et leur utilité dans les cas graves   Résection intestinale : Ablation d’un segment de l’intestin sévèrement endommagé ou présentant des complications (sténoses, abcès, fistules). Maladie de Crohn : Peut nécessiter plusieurs interventions au fil du temps en raison de récidives. Coloproctectomie totale : Indiquée en cas de rectocolite hémorragique résistante aux traitements médicaux. Peut nécessiter la création d’une stomie ou la construction d’un réservoir iléal.   Thérapies émergentes : modulation du microbiote et biothérapies   Transplantation de microbiote fécal (TMF) – La transplantation fécale, ou transplantation de microbiote fécal (TMF), consiste à introduire les selles d’un donneur sain dans le tube digestif d’un receveur pour restaurer un microbiote intestinal équilibré. Elle vise à remplacer un microbiote déséquilibré (dysbiose) par un microbiote fonctionnel. Elle repose sur le transfert des bactéries bénéfiques contenues dans les selles du donneur, améliorant ainsi les fonctions immunitaires et métaboliques de l’intestin. Inhibiteurs de JAK (Janus Kinase) –  Bloque les voies de signalisation responsables de l’inflammation. Alternative pour les patients réfractaires aux biothérapies.  … Poursuivre la lecture Qu’est ce qui provoque une inflammation de l’instestin ?
Comment soigner une inflammation naturellement ?

Comment soigner une inflammation naturellement ?

Comment soigner une inflammation naturellement ? Comprendre l’inflammation : les bases essentielles   Inflammation : qu’est-ce que c’est réellement ?   L’inflammation est une réponse du système immunitaire à une agression, comme une infection, une blessure ou une irritation. Elle peut être aiguë ou chronique : Aiguë : C’est une réaction immédiate et temporaire à un agent extérieur, comme une infection ou une blessure. Elle est marquée par des symptômes tels que rougeur, douleur, chaleur et gonflement. Elle est censée guérir après quelques jours sans séquelles ni locales, ni générales. Chronique : Elle dure dans le temps et peut être sous-jacente à de nombreuses pathologies telles que les maladies auto-immunes, les troubles inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) ou les maladies cardiovasculaires. Elle est causée par une activation prolongée du système immunitaire sans résolution adéquate liée à la mauvaise guérison d’une inflammation aiguë généralement.   Les principales causes de l’inflammation chronique dans le corps   L’inflammation peut être déclenchée par plusieurs facteurs : Environnement : les facteurs environnementaux, notamment la pollution de l’air et de l’eau, ont un impact direct sur l’inflammation systémique.  Alimentation : une alimentation déséquilibrée, riche en sucres raffinés, graisses trans et aliments ultra-transformés, est l’un des principaux moteurs de l’inflammation chronique.   Stress : le stress chronique induit une surproduction de cortisol. À long terme, des niveaux élevés de cortisol perturbent la régulation de l’inflammation en altérant les réponses immunitaires.  Infections : les infections bactériennes, virales ou parasitaires déclenchent des réponses inflammatoires spécifiques à chaque type d’agent pathogène.   Adopter une alimentation anti-inflammatoire   Quels aliments éviter pour réduire l’inflammation ?   Pour réduire l’inflammation, certains aliments doivent être évités, car ils favorisent régulièrement des réponses inflammatoires.  Sucres raffinés et glucides simplesLes sucres raffinés et glucides simples (pain blanc, pâtisseries, sodas) sont des facteurs majeurs dans l’activation de l’inflammation. La consommation excessive de ces produits entraîne une élévation rapide du taux de glycémie, ce qui stimule la production d’insuline et de protéines de glycation avancée (AGEs). Graisses trans et acides gras saturésLes graisses trans, présentes dans les aliments frits, les pâtisseries industrielles, les margarines et autres produits transformés, augmentent l’inflammation. Les acides gras saturés, souvent présents dans la viande rouge, les charcuteries et certains produits laitiers, augmentent également l’inflammation en favorisant la libération de cytokines comme IL-6 et en modifiant les structures cellulaires des membranes. Aliments ultra-transformésLes aliments ultra-transformés (fast-food, snacks, plats préparés) contiennent des niveaux élevés de sodium, sucre et additifs alimentaires, tels que des conservateurs, des colorants, des exhausteurs de goût, et des agents de texture. Ces produits sont non seulement faibles en nutriments essentiels mais contiennent également des agents pro-inflammatoires qui perturbent l’équilibre du microbiote intestinal et favorisent des réponses inflammatoires. AlcoolL’alcool favorise l’inflammation par divers mécanismes. Il augmente la perméabilité intestinale. Il stimule la production de cytokines pro-inflammatoires et perturbe la fonction hépatique, provoquant une stéatose hépatique non alcoolique et les maladies cardiovasculaires. Viandes transforméesLes viandes transformées (saucisses, bacon, charcuteries) contiennent des nitrites et nitrates, des agents de conservation qui, lorsqu’ils sont ingérés, se transforment en nitrosamines, fortement pro-inflammatoires. Ces substances endommagent les cellules intestinales et favorisent l’inflammation intestinale. Les viandes transformées sont également riches en graisses saturées et en sel, deux autres facteurs qui exacerbent l’inflammation. Produits laitiers (en cas d’intolérance)Les produits laitiers, en particulier le lait de vache, est une source importante de protéines inflammatoires pour les individus intolérants au lactose ou sensibles à la caséine (protéine du lait). La fermentation du lactose non digéré dans l’intestin produit des acides gras à chaîne courte et des gaz, provoquant une irritation intestinale et augmentant l’inflammation. Epices irritantes et aliments acidesLes épices fortes (piment, poivre, curry) peuvent irriter la muqueuse intestinale, en particulier chez les personnes sensibles ou souffrant de MICI.    Les aliments anti-inflammatoires à privilégier   Les Fruits et légumes riches en antioxydants : Parmi les fruits anti-inflammatoires les plus efficaces, on trouve les fruits rouges (fraises, myrtilles, framboises), riches en flavonoïdes comme la quercétine et l’anthocyanine. Les légumes verts feuillus, comme les épinards, le brocoli, et le chou kale, contiennent de grandes quantités de vitamine C et de caroténoïdes. Les oméga 3 d’origine végétale et marineLes oméga 3, présents dans les poissons gras (saumon, maquereau, sardines), les graines de chia, les graines de lin et les noix, agissent en réduisant la production de molécules pro-inflammatoires, (prostaglandines et leucotriènes). Des études ont montré que les oméga 3 modulent également l’activité des cytokines inflammatoires (TNF-α, IL-6). Les épices et plantes médicinalesLe curcuma et le gingembre, sont très anti-inflammatoires. Le curcuma contient de la curcumine, un composé polyphénolique qui bloque la production de cytokines inflammatoires et inhibe les voies de signalisation des molécules pro-inflammatoires, comme le NF-kB. Le gingembre, quant à lui, contient des gingérols, qui réduisent l’inflammation en inhibant des enzymes comme la COX-2, impliquée dans l’inflammation. D’autres plantes, comme le basilic sacré (ou tulsi), sont également reconnues pour leurs effets anti-inflammatoires. Les noix et grainesLes noix (amandes, noix de Grenoble) et les graines (graines de lin, graines de chia, graines de courge) sont riches en acides gras insaturés, notamment des oméga 3 et des antioxydants. Par exemple, les noix de Grenoble contiennent des quantités importantes d’acides gras alpha-linoléniques (ALA), de la vitamine E, et des polyphénols. Les graines de lin sont également une source puissante de lignanes, qui ont des effets modulant l’inflammation et le stress oxydatif. Les légumineusesLes légumineuses, comme les haricots, les lentilles et les pois chiches, sont riches en fibres solubles et en protéines végétales. Les fibres solubles favorisent la production de butyrate. Les légumineuses, riches en magnésium, contribuent également à réguler les réponses inflammatoires en diminuant la libération de cytokines pro-inflammatoires. Les huiles végétales riches en oméga 3Les huiles végétales, telles que l’huile de lin, de cameline, l’huile de chanvre et l’huile d’olive extra vierge, sont de bonnes sources d’acides gras oméga 3 et de polyphénols anti-inflammatoires. L’huile d’olive, en particulier, contient des oléocanthal, un composé qui a des effets similaires à ceux des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) en inhibant la COX-1 et la COX-2, enzymes impliquées dans l’inflammation. Les aliments fermentésLes aliments fermentés, tels que le… Poursuivre la lecture Comment soigner une inflammation naturellement ?

Où trouver des oméga 3 ?

Où trouver des oméga 3 ? Qu’est-ce que les oméga-3 et pourquoi sont-ils essentiels ?   Les oméga-3 sont des acides gras polyinsaturés essentiels pour le bon fonctionnement de l’organisme. Contrairement aux graisses saturées ou trans, les oméga-3 jouent un rôle fondamental dans la santé cardiovasculaire, la fonction cérébrale, et la régulation de l’inflammation. Ces acides gras ne peuvent pas être synthétisés par le corps, ce qui signifie qu’il est nécessaire de les obtenir par l’alimentation ou la supplémentation.   Définition et rôle des oméga-3 dans l’organisme   Les oméga-3 sont des graisses essentielles, c’est-à-dire qu’elles sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Ils sont impliqués dans de nombreuses fonctions biologiques, notamment la régulation des processus inflammatoires, la formation des membranes cellulaires et la communication entre les cellules nerveuses. De plus, les oméga-3 sont également impliqués dans la production d’hormones qui contrôlent l’inflammation, la coagulation sanguine et d’autres fonctions corporelles.   Les différents types d’oméga-3 : ALA, EPA et DHA   Les trois principaux types d’oméga-3 sont : Acide alpha-linolénique (ALA) : Trouvé principalement dans les sources végétales comme les graines de lin et les noix, l’ALA est un acide gras essentiel que le corps convertit en EPA et DHA, bien que cette conversion soit inefficace. Acide eicosapentaénoïque (EPA) : Trouvé principalement dans les poissons gras et certains types d’algues, l’EPA est particulièrement bénéfique pour la santé cardiovasculaire et la gestion des inflammations. Acide docosahexaénoïque (DHA) : Également trouvé dans les poissons gras et les algues, le DHA est un composant majeur des membranes cellulaires, notamment dans le cerveau et les yeux, ce qui en fait un nutriment clé pour la santé cognitive et visuelle.   Quels sont les besoins quotidiens en oméga-3 ?   Les besoins en oméga-3 varient en fonction de l’âge, du sexe et de l’état de santé. En général, il est recommandé de consommer au moins 250 à 500 mg par jour d’EPA et DHA combinés pour maintenir une bonne santé cardiovasculaire. Les personnes présentant des problèmes de santé spécifiques, comme les troubles inflammatoires ou les maladies cardiovasculaires, peuvent bénéficier de doses plus élevées, parfois allant jusqu’à 1000 mg ou plus par jour. Les apports en ALA sont généralement couverts par une alimentation variée, mais il peut être nécessaire de privilégier les sources d’EPA et DHA dans certains cas.   Les principales sources alimentaires d’oméga-3   Les sources animales riches en oméga-3   Les oméga-3 se trouvent dans de nombreuses sources alimentaires, tant animales que végétales. Il est essentiel d’inclure une variété de ces sources pour bénéficier de tous les types d’oméga-3, notamment l’EPA et le DHA, qui sont les plus biodisponibles.   Les poissons gras : saumon, maquereau, sardine, hareng…   Les poissons gras sont parmi les meilleures sources d’EPA et de DHA. Le saumon, le maquereau, la sardine et le hareng sont particulièrement riches en oméga-3. Il est recommandé de consommer ces poissons au moins deux fois par semaine pour couvrir les besoins en oméga-3.   Les fruits de mer et crustacés   Les crevettes, les huîtres et les moules sont également de bonnes sources d’oméga-3, bien qu’elles contiennent généralement moins d’EPA et de DHA que les poissons gras.   Les œufs enrichis en oméga-3   Les œufs enrichis en oméga-3 Certains œufs proviennent de poules nourries avec une alimentation riche en oméga-3, ce qui en fait une excellente option pour les personnes qui ne consomment pas régulièrement de poissons.   Les sources végétales riches en oméga-3   Les huiles végétales : lin, colza, chanvre   Les huiles végétales : lin, colza, chanvre L’huile de lin, de colza et de chanvre sont des sources importantes d’ALA, un type d’oméga-3 provenant des plantes. L’huile de lin est particulièrement riche en ALA et peut être utilisée dans des vinaigrettes ou ajoutée à des smoothies.   Les graines : chia, lin, courge   Les graines : chia, lin, courge Les graines de chia, de lin et de courge sont non seulement riches en ALA, mais elles offrent également une bonne dose de fibres et de protéines végétales, faisant d’elles un excellent choix pour compléter l’alimentation.   Les noix et amandes   Les noix et amandes Les noix, en particulier les noix de Grenoble, sont une excellente source d’ALA et offrent aussi des avantages pour la santé cardiaque grâce à leur teneur en antioxydants.   Les légumes à feuilles vertes : épinards, mâche   Les légumes à feuilles vertes : épinards, mâche Les légumes à feuilles vertes comme les épinards et la mâche contiennent de petites quantités d’oméga-3, principalement sous forme d’ALA. Ils contribuent à l’alimentation, bien qu’ils ne soient pas des sources aussi concentrées que les graines ou les huiles.   Quels aliments privilégier selon vos besoins nutritionnels ?   Pour obtenir un apport équilibré en oméga-3, il est recommandé de consommer régulièrement des poissons gras pour couvrir les besoins en EPA et DHA. Si vous êtes végétarien ou végane, il est conseillé de privilégier les sources végétales d’ALA et de considérer la supplémentation en DHA et EPA à partir d’algues. Il est également important de maintenir un équilibre entre oméga-3 et oméga-6, car un excès d’oméga-6 dans l’alimentation peut nuire à l’efficacité des oméga-3.   Les oméga-3 sous forme de compléments alimentaires   Les compléments en oméga-3 peuvent être un moyen pratique d’atteindre les apports recommandés, surtout si l’alimentation ne fournit pas suffisamment d’oméga-3. Cependant, il est essentiel de bien choisir son complément pour en maximiser les bienfaits.   Quand opter pour un complément en oméga-3 ?   Les compléments en oméga-3 sont particulièrement utiles pour les personnes qui ne consomment pas régulièrement de poissons gras, les végétariens, les personnes âgées ou celles ayant des besoins accrus en oméga-3 pour des raisons médicales (comme les troubles cardiovasculaires, inflammatoires ou neurologiques).   Comment choisir le bon supplément ?   Différences entre huiles de poisson, krill et algues   Différences entre huiles de poisson, krill et algues Les huiles de poisson sont les plus couramment utilisées, fournissant à la fois de l’EPA et du DHA. L’huile de… Poursuivre la lecture Où trouver des oméga 3 ?